Employé du diocèse, le « curé de l’Ohème » réconcilie sur le web fidèles et fans. Dimanche, contre Paris, Dieu ne sera pas de trop.
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Patrice Terraz vit et travaille à Marseille. Il est membre de la maison de photographes Signatures. Son activité de photographe indépendant le fait collaborer avec des agences de communication, des institutions ou des supports de presse tels que Le Monde, L’Obs, Phosphore, Néon ou la revue 6 Mois… Il développe depuis des années un travail personnel qui se distingue par son approche humaine, son engagement social et sa richesse plastique. Ses photographies ont fait l’objet de nombreuses expositions à Paris, Marseille, Sète, Alès, Palerme, Beyrouth, Newcastle, Londres, Zürich, Barcelone, New York… En 2015, il participe au projet collectif de photographie documentaire « La France vue d’ici » porté par Mediapart et ImageSingulières. En 2017, il est l’un des quinze photographes sélectionnés par le Centre national des arts plastiques pour la commande photographique nationale « La jeunesse en France ».
A publié Welcome on Board, reportage sur les marins abandonnés (Éditions Images en Manœuvres, 2005) ; Itinérances, recueil de portraits de personnalités du cinéma réalisés au festival cinéma d’Alès (Éditions Sangam, 2006) ; Les Cent Visages du Vaste Monde, d’après un texte d’Albert Londres (Éditions Trans Photographic Press, 2009) ; Californy, un an auprès des jeunes de Corbeil-Essonnes, restitution de la résidence photographique effectuée pour le festival l’Œil urbain (Éditions Le Bec en l’air, 2017).
Employé du diocèse, le « curé de l’Ohème » réconcilie sur le web fidèles et fans. Dimanche, contre Paris, Dieu ne sera pas de trop.
Le club des quartiers nord marche à peine et veut des bottes de sept lieues. Mais il reste du chemin pour sortir de l’ombre de l’OM.
La finale européenne perdue ? La quatrième place en France ? Pas grave. Le président Eyraud la joue calme olympien. Mais bien sûr.
Une page minimum, treize pour la qualification en finale de la Ligue Europa. Entre journal et club, c’est un mariage de (dé)raison.
Bon enfant et voyou, le « peuple de l’OM » a tout donné jeudi, avant même la victoire en demi-finale aller de coupe d’Europe.
Avant le choc OM-OL, « Les Jours » vous ont invités à un épisode vidéo « multilive » depuis Marseille. À revivre ici.
À l’OM, on n’a pas de pétrole, mais on a un camélidé. Même qu’il écrit les meilleurs résumés des matchs. Rencontre au poil.
Fini la défiance, l’Olympique de Marseille se rapproche des petits clubs de la ville. Pour ne pas voir filer les Zidane de demain.