Longtemps à la traîne, les syndicats tentent, via les VTC, de réagir à l’uberisation du travail.
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Né en 1967, je suis un Lyonnais monté à Paris pour mes études. J’ai d’abord été directeur artistique dans la publicité avant d’être, depuis 2005, auteur de BD en parallèle de mes activités d’illustrateur et de story-boarder. En plus de réaliser des albums de fiction pour Delcourt, Albin Michel ou La Boîte à Bulles, j’aime travailler avec des journalistes pour La Revue Dessinée, Arte Radio ou Les Jours.
Longtemps à la traîne, les syndicats tentent, via les VTC, de réagir à l’uberisation du travail.
Face aux abus de la plateforme, ils organisent la riposte et tentent de convaincre les clients d’être « responsables ».
Des chauffeurs Uber racontent des anecdotes sur leurs clients, dont beaucoup n’ont pas conscience de leur pouvoir de nuisance.
Depuis qu’Uber a baissé ses tarifs, les chauffeurs sont obligés de travailler plus pour gagner moins. Ils sont en colère.
Le soir du second tour, « Les Jours » ont sillonné Paris avec des chauffeurs Uber et leurs clients.
Sophia, qui emploie une quinzaine de chauffeurs, est devenue complètement dépendante d’Uber. Son chiffre d’affaires s’effondre.
Sans permis VTC, Salima louait sa voiture. Plus simple, pensait-elle. Mais surtout éreintant. Elle a jeté l’éponge.
La société bouleverse le secteur des transports et ne cesse, depuis son installation en France, de faire du chantage à l’emploi.
Au centre d’Aubervilliers, les employés de la plateforme coachent les chauffeurs et draguent les taxis. À la méthode Uber.
Il posait des pavés, il est devenu VTC. Il est sorti de son quartier et de sa coquille. Et a côtoyé le « grand monde ».
La start-up est une chimère, qui a perdu 5 milliards de dollars, mais qui fait briller les yeux. En bourse et en France.