Il est inscrit sur notre acte de naissance, puis nous suit à vie sur notre carte d’identité : le genre, notre genre, « F » ou « M ». Mais aujourd’hui, cette démarcation se brouille et, pour une partie de la nouvelle génération, elle ne veut plus dire grand-chose. « Les Jours » sont allés à la rencontre d’une bande, un groupe de potes qui ne s’identifient ni en « F » ni en « M », qui ne disent ni « il » ni « elle » mais « iel ». « Je, tu, iel », une série en quatre épisodes, en sons et en images, qui raconte la fluidité des genres.
Par
Jeanne Boezec,
Simon Lambert