C’est l’époque des vœux, la saison où l’on se souhaite le bonheur, la réussite, la santé de manière plus ou moins faux-cul, bisous collant de galette des rois à l’appui. Mais c’est sans hypocrisie ni bisous collant que Les Jours vous le disent, à vous, abonné·e·s, ex-abonné·e·s ou gens de passage qui tombez sur ce texte au hasard : bonne année, que 2024 vous apporte journalisme incisif, indépendance et éclairage de ce monde si complexe et changeant.
Et c’est sans hypocrisie ni ambages que nous vous le disons aussi : pour que l’année des Jours soit bonne, nous avons besoin de vous, et nous avons besoin de vous maintenant. Ça fait longtemps que nous ne vous avons pas sollicités pour une campagne, mais l’urgence nous y oblige. Comme vous le savez, nous avons fait le choix le plus difficile pour un média : celui de l’indépendance.
Vous le savez, cette indépendance est cruciale. C’est grâce à elle que nous pouvons mener une enquête en continu sur Vincent Bolloré et sa croisade idéologique depuis 2016, recenser et faire de l’investigation sur les féminicides pendant un an. C’est grâce à notre indépendance que nous avons pu révéler qu’un juge du droit d’asile ne faisait pas mystère de son islamophobie, son antisémitisme et son homophobie, ce qui a conduit à sa révocation. Ou qu’une autre de ces juges avait débouté 10 000 demandeurs d’asile sans même les avoir rencontrés. Grâce à notre indépendance que nous avons mis au jour l’affaire du gynécologue de Domont accusé de viols qui a connu récemment sa 128e plainte. Ou que l’État a été assigné en responsabilité pour faute lourde dans le féminicide de Sofya Rudeshko. Ou encore que le recrutement de Ségolène Royal comme chroniqueuse chez Cyril Hanouna n’avait qu’un seul but : capter la totalité du temps de parole du PS pour mieux inviter l’extrême droite à gogo. Le tout en sachant aussi être légers avec une
Peut-être savez-vous moins que notre indépendance nous rend plus fragiles. Elle ne dépend que des abonnements et, pour être très transparents, ils sont en baisse. C’est le cas de tous les médias, pour de multiples raisons dont l’inflation, qui pousse à faire des choix parmi ses abonnements, ou la fatigue informationnelle, mais pour Les Jours, il y a un enjeu vital : notre équilibre financier est menacé. Nous avons fait le choix de n’avoir ni pub
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