Imaginez-vous la vie sans Les Jours ? Sans ce média unique, qui ne ressemble à aucun autre, qui creuse ses enquêtes là où ça dérange, qui ne lâche jamais ses sujets et les raconte en séries, épisode après épisode, qui a inventé l’info en séries.
Sans Les Jours, le paysage des médias serait moins beau, moins riche, moins indépendant, moins intelligent, moins drôle. La crise que nous traversons rend plus criant encore le besoin d’une information indépendante, fouillée, rigoureuse. C’est pourquoi, pendant le confinement, nous avons décidé d’offrir sept jours de Jours à toutes et à tous. Aujourd’hui, c’est à vous d’offrir des jours aux Jours : nous avons besoin de vous.
Le Covid et la crise économique rendent l’avenir des Jours plus incertain. C’est vrai pour beaucoup de médias, mais comme Les Jours sont sans pub et indépendants, il n’y a pas de grand groupe pour nous soutenir en cas de moins bien. Pour soutenir Les Jours, il y a vous, nos lectrices et nos lecteurs. Nous avons besoin de 2 000 abonné·e·s supplémentaires pour atteindre l’équilibre. Parce que tant qu’on n’est pas à l’équilibre on peut tomber à tout moment. En cette année 2020 si particulière, cette campagne est vitale pour Les Jours, nous nous sommes donné jusqu’au 6 novembre pour y arriver : c’est maintenant que ça se passe.
Comment nous soutenir et rallonger Les Jours :
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Sans Les Jours, les plastiqueurs continueraient de plastiquer tranquillement sans que personne ne se soucie de révéler que le plastique ne se recycle pas ou si mal. Sans Les Jours, Tiphaine Véron ne serait qu’un nom qui vous évoque vaguement une personne disparue. Sans Les Jours, que comprendrait-on des coulisses des élections américaines ? Sans Les Jours, Malo, 14 ans, Ramatoulaye, 19 ans, le fils de Mme Diallo, 19 ans, ne seraient que des statistiques des violences policières. Sans Les Jours, les lobbyistes poursuivraient leur travail de sape et d’influence en toute tranquillité. Sans Les Jours, les SUV auraient continué à polluer sans que personne vienne mettre des bâtons dans leurs grosses roues. Sans Les Jours, le pangolin serait resté l’unique accusé de la pandémie du Covid-19 sans qu’on vienne en gratter les causes environnementales. Sans Les Jours, il n’y aurait pas cet espace, unique pour un média en ligne, d’expression pour les photographes indépendant·e·s. Sans Les Jours, les conseillers auraient continué de manigancer dans les coulisses du pouvoir sans que personne ne vienne braquer le projecteur sur eux. Sans Les Jours, qui irait coller aux basques de Vincent Bolloré pour révéler ses turpitudes ? Sans Les Jours, il n’y aura pas eu Les revenants de David Thomson, ni de prix Albert-Londres 2017 pour Les Jours.
Vous nous dites parfois ne pas toujours avoir le temps de lire Les Jours. Mais soutenir Les Jours, ça signifie financer un journalisme qui creuse et ne lâche pas, un journalisme qui agit et révèle, qui prend son temps pour enquêter, qui ne se contente pas de l’écume de l’information. Plus vous nous soutenez, plus notre journalisme a de l’impact et des conséquences concrètes. C’est bien de lire cet épisode sur la mort d’un jeune de banlieue, c’est encore mieux quand cet épisode est lu aussi par ceux qui ont le pouvoir de prévenir de futurs drames. C’est bien de lire cet épisode sur la faiblesse du recyclage dans la filière plastique, c’est encore mieux quand il circule dans les bureaux de la ministre de la Transition écologique. C’est bien de lire cette série sur les lobbyistes, c’est encore mieux quand ils se savent observés et modèrent leur influence. Vous avez ce superpouvoir : soutenir Les Jours, c’est nous aider à traverser une période compliquée tout en agissant sur le débat public. Rallongez Les Jours. D’ici à la fin de notre campagne, le 6 novembre, il reste 71 jours et Les Jours sont comptés.