Chères jouristes, chers jouristes,
« Les dessous des “Jours” », « Les dessous des “Jours” », vous en avez de bonnes, vous ! En ce moment, le plus spectaculaire, ce sont les dessus des Jours : eh oui, comme toutes les entreprises, Les Jours sont, en cette rentrée, complètement masqués dans leur open space. Ça ne nous empêche pas d’ouvrir grand nos bouches, et ce, pour vous dire plusieurs choses. La plus importante, d’abord : nous avons lancé notre campagne de crowdfunding d’abonnements, elle est flash puisqu’elle se terminera le 6 novembre, elle est cruciale car le Covid et ses conséquences économiques rendent l’avenir des Jours plus incertain. Vous pouvez lire les explications ici. Nous avons besoin de 2 000 abonné·e·s supplémentaires, qui nous séparent de l’équilibre. Les Jours sont indépendants et sans pub et sans grand groupe pour nous soutenir en cas de moins bien. Et quand on n’est pas à l’équilibre, on peut tomber à tout moment. Donc c’est maintenant que nous avons besoin de vous, vous qui n’êtes pas abonné·e et lisez ces lignes, vous qui avez été abonné·e. Voici ce que vous pouvez faire : faire monter notre jauge en vous abonnant, ou faire un don défiscalisé à 66 %.
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Si vous avez manqué le début. Le procès des attentats de janvier 2015 s’est ouvert ce mercredi à la cour d’assises spéciale du tribunal de Paris et il va durer jusqu’en novembre mais nous avons démarré notre série il y a déjà une semaine. Nous avons confié ce travail à Thierry Lévêque, journaliste spécialisé dans les affaires judiciaires. Dans Les ombres de Charlie, Thierry va raconter ce procès historique et en même tant fantomatique tant le box des accusés est rempli d’absents et de seconds couteaux. Le deuxième épisode des Ombres de Charlie a été publié ce mercredi matin.
« Tiphaine Véron a disparu ». Il règne une drôle d’ambiance à Nikko, cette petite ville touristique japonais où la journaliste Caroline Gardin mène pour Les Jours sa contre-enquête sur la disparition de Tiphaine Véron. La police japonaise s’accroche à la thèse de l’accident et semble négliger les pistes criminelles, au grand dam de la famille Véron qui, à des milliers de kilomètres de Nikko, voit s’effacer les traces de Tiphaine. En attendant le nouvel épisode, vous retrouverez les précédents ici. Le premier est en accès libre.
Votre nouveau rendez-vous du samedi. Peut-être l’avez vous raté dans la touffeur du mois d’août mais Les Jours accueillent chaque samedi un nouvel habitant : le dessinateur Loïc Sécheresse (et toute sa ménagerie à base de goélands et de paon). Dans Alerte Sécheresse, Loïc Sécheresse, dont nous avons publié la précédente série Satanisme et écoresponsabilité, tire un trait sur la semaine qui vient de s’écouler pour saisir l’air du temps. Le premier épisode, en accès libre, met en scène un certain Gérald Darmanin aux prises avec sa « vie de jeune homme » et avec le bec des goélands…
Et on ne vous a pas tout dit… Dès ce jeudi sera publié un nouvel épisode des Plastiqueurs, la série de Dorothée Moisan sur ce secteur en plein boum avec la crise sanitaire. Après deux épisodes sur l’impossible recyclage, Dorothée se met la tête dans le sac… mais on vous en a déjà trop dit.
Vous ne raterez pas le début… On ne peut encore tout vous dévoiler mais il y aura du képi en cette rentrée sur Les Jours. Il sera également très bientôt question de fin du monde, et aussi de fin du mois. Une grande enquête ne va pas tarder non plus, qui sera consacrée à la surveillance. Et entre autres nouveautés (dont certaines se dégusteront par les oreilles), une deuxième saison des Années bac s’approche à grands pas, toujours signée Maïté Darnault : vous retrouverez les élèves de la 1ère G4 qui entrent désormais en terminale, toujours au lycée Mounier à Grenoble. Ce sont eux qui vont, les premiers, expérimenter le nouveau bac de Jean-Michel Blanquer.
Le métier des « Jours » que vous ne connaissez pas : DAF. Trois lettres qui auront du mal à circonscrire notre directeur administratif et financier, Augustin Naepels. L’homme de l’argent, pour aller vite, est l’un des neuf cofondateurs des Jours. Mais écoutons-le plutôt : « Pour parler de mon travail aux Jours, j’ai l’habitude d’expliquer que je suis le seul cofondateur non-journaliste, et que je m’occupe de tout ce qui n’est pas journalistique. En compagnie d’Isabelle Roberts, notre présidente, j’encadre le travail de Julien et d’Adrien
« Les Jours » avancent-ils masqués ? Eh bien oui. Même si, depuis ce 1er septembre et l’obligation de porter un masque toute la journée, les conditions de travail ont été assouplies avec la possibilité de travailler de chez soi trois jours par semaine, avec tout de même deux jours de présence dans les locaux des Jours pour les réunions collectives. Parce que c’est plus simple pour réfléchir ensemble
Le titre auquel vous avez échappé. Ce mois-ci, nous avions deux titres lamentables pour le dernier épisode de Face A, face B… dont un qu’on a publié. Le premier, en hommage à Stephan Eicher : « Cumbia de temps ». Le second, clin d’œil à Alain Souchon : « Y’a d’la cumbia dans l’air ».
Ah et au fait. On vous a dit pour la campagne d’abonnements ou pas ?
Bon mois de septembre à vous et la suite au prochain numéro.
Les Jours