Depuis trente-sept ans, la famille de Grégory Villemin mise sur les progrès de la forensique pour tenter d’obtenir des réponses.
Son rôle dans la série.
« Diatomées » : derrière ce petit nom charmant se cachent quelque milliers d’espèces d’algues microscopiques (certains évoquent le chiffre de 200 000), qui vivent isolées ou en colonies, formant de longues chaînes, en forme d’éventails, de zigzags ou de spirales. Apparues au Jurassique (il y a quelque 200 millions d’années), elles ont survécu aux dinosaures et sont devenues des sortes de championnes de la photosynthèse (elles produiraient à elles seules un quart de notre oxygène). Auxiliaires de la justice (pour poser un diagnostic de noyade), elles disposent d’un squelette externe en silice du nom de « frustule ». Ce qui ne les empêchent pas de se faire manger par les copépodes, des petits crustacés. À noter : la terre de diatomée, insecticide naturel (entre autres propriétés), provient de roches sédimentaires riches en silice constituées de fossiles de diatomées.
Depuis trente-sept ans, la famille de Grégory Villemin mise sur les progrès de la forensique pour tenter d’obtenir des réponses.