Le streaming devenu roi, la filière musicale devait s’entendre sur le partage des revenus. En une nuit, tout a capoté.
11 octobre 2017 · Épisode n° 1
Photo Sébastien Calvet/Les Jours
Son rôle dans la série.
Né en 1963, proche d’Emmanuel Macron, Marc Schwartz a été l’un des animateurs de la campagne du président de la République côté culture, avant de devenir directeur de cabinet de la ministre Françoise Nyssen rue de Valois – il aurait préféré le poste de conseiller culture à l’Élysée. On le connaissait auparavant pour la médiation délicate qu’il a menée en 2012 entre Google et la presse française, qui a débouché sur la création d’un fonds d’aide aux médias. Puis il a mené une médiation périlleuse dans la musique, afin de réduire les déséquilibres au sein de la filière sur les revenus tirés sur numérique. Conseiller maître à la Cour des comptes, Marc Schwartz a aussi été un temps conseiller de Dominique Strauss-Kahn, alors ministre des Finances, puis directeur général adjoint de France Télévisions, en charge des finances.
Par Sophian Fanen
Son rôle dans la série.
On connaît surtout Marc Schwartz pour la médiation délicate qu’il a menée en 2012 entre Google et la presse française. Les médias estimaient que Google, notamment via Google Actualités, profitait d’une façon déséquilibrée du trafic généré par les articles de presse. La médiation a débouché sur la création d’un fonds d’aide à la presse française, élargi depuis à l’ensemble des médias européens via la Digital News Initiative. Conseiller maître à la Cour des comptes, Marc Schwartz a aussi été un temps conseiller de Dominique Strauss-Kahn, alors ministre des Finances, puis directeur général adjoint de France Télévisions, en charge des finances.
Par Sophian Fanen
