Une semaine après la présidentielle américaine, militants et sympathisants progressistes dissèquent l’échec de Kamala Harris. Saignant.
Une semaine après la présidentielle américaine, militants et sympathisants progressistes dissèquent l’échec de Kamala Harris. Saignant.
Dans le bastion conservateur de Newnan, les trumpistes jubilent pendant que les électeurs de Harris, accablés, anticipent les quatre années à venir.
Même dans les universités « historiquement noires » d’Atlanta, la démocrate peine à séduire. Certains jeunes afro-américains lui préfèrent même Trump.
Le patron de X a pris la tête de la campagne républicaine, déléguée à des sous-traitants. L’ex-Président, lui, se prépare à contester son éventuelle défaite.
Dans cet État conservateur, les classes populaires blanches sont minées par la pauvreté et les drogues dures. Ni Trump ni Harris ne représente un espoir.
L’État redoute des heurts en cas de défaite de Trump. Or le scrutin promet d’être serré et le nouveau décompte manuel des voix va retarder les résultats…
Pour arracher le vote des électeurs indécis de cet État-clé, notamment les femmes, le camp Harris mise sur la défense des droits reproductifs. Reportage.
Malgré la défaite, il a consolidé son emprise sur le parti républicain et ses élus. Et place même ses pions pour un come-back.
Le Président tente de durcir le contrôle des armes mais les républicains bloquent, soutenus par une Cour suprême encore plus conservatrice.