Que sont-ils devenus ? Travailler à son compte, c’était son « rêve d’adolescente ». Désormais chauffeuse VTC, Salima a résisté à 2020.
Que sont-ils devenus ? Travailler à son compte, c’était son « rêve d’adolescente ». Désormais chauffeuse VTC, Salima a résisté à 2020.
Que sont devenues les vieilles start-up françaises ? « Les Jours » remontent le temps jusqu’en 2011, autant dire le Moyen Âge.
En virée, Mounir Mahjoubi a récolté les doléances de patrons du numérique. Qui veulent moins de règles et plus de sous.
Célébrée par le milieu, la start-up de livraison de repas a coulé à l’été 2016. Un fiasco exemplaire et socialement désastreux.
Pour un start-uppeur, la recherche d’argent frais est une partie de poker, pleine de coups de bluff et de coups fourrés.
Le monde des start-up et de la tech n’échappe pas au sexisme que les femmes rencontrent dans les autres milieux. Enquête.
À la tête d’un fonds de 160 millions d’euros, Jean-David Chamboredon est un incontournable de la « start-up nation ».
Crypto lunchs et afterworks à base de bitcoins et « League of Legends » : cette start-up de jeux vidéo vient de lever 2,5 millions.
Monter sa boîte est devenu un idéal de réussite dans les grandes écoles, qui cajolent la future aristocratie entrepreneuriale.
Le business de cette start-up : louer des vêtements. Son fondateur, pas spécialiste de la mode, a « senti une opportunité ».
Quoi de mieux qu’un incubateur de start-up pour raconter les coulisses de la nouvelle économie ? « Les Jours » s’installent.
Il posait des pavés, il est devenu VTC. Il est sorti de son quartier et de sa coquille. Et a côtoyé le « grand monde ».