Il y a un an, Mahsa Jina Amini était tuée par le régime des mollahs. Une Téhéranaise exilée en France l’assure : la résistance est quotidienne.
Difficile d’en dire beaucoup sur cette femme iranienne qui nous écrit en français de Téhéran sans mettre en danger sa sécurité : elle est artiste, habite dans un quartier populaire de la ville et participe à de nombreuses manifestations. Elle termine chacun de ses messages aux Jours par le slogan de la révolte : #femmevieliberté.
Désormais, « Mahsa » n’est plus anonyme et se présente sous son vrai patronyme : Negareh Ayat. Elle a quitté l’Iran pour la France où elle a déposé une demande d’asile et où elle poursuit son activité de peintre dans la région parisienne.
Il y a un an, Mahsa Jina Amini était tuée par le régime des mollahs. Une Téhéranaise exilée en France l’assure : la résistance est quotidienne.
Mahsa s’est réfugiée en France ; Kaveh, lui, est toujours à Téhéran. Ils racontent les deux faces d’une même révolution et de sa répression.
Depuis des semaines, « Mahsa » nous raconte la révolte de l’intérieur ; cette fois, elle le fait depuis la France : elle a quitté l’Iran.
Les mollahs multiplient les menaces contre les femmes non voilées… qui redoublent de résistance. Un instantané de révolte signé « Mahsa ».
Dans son deuxième message en direct de la révolte iranienne, « Mahsa » dépeint les manifestations surprises et la répression.