Il n’y a pas de quoi porter plainte, ou pas encore, mais quelque chose s’est mal passé. Le voisin fait trop de bruit, l’ex-mari n’est pas venu récupérer les enfants… Dans une main courante déposée au commissariat, on témoigne d’incidents pour qu’il en reste une trace écrite, officielle. « Les Jours » publient ces récits subjectifs, bruts mais anonymisés. Instantanés de société imprégnés de vocabulaire policier.