Samedi, « Les Jours » se sont glissés à la formation organisée par En marche et dédiée à ses apprentis candidats aux législatives.
Son rôle dans la série.
Il est référent départemental d’En marche en Seine-Saint-Denis. C’est-à-dire que c’est lui qui valide les comités locaux, nomme les responsables et coordonne les actions. Après les attentats du 13 Novembre, ce haut fonctionnaire qui travaillait au cabinet de la ministre de la Justice Christiane Taubira a décidé de quitter Paris. Il a emménagé à Aubervilliers. « Je me suis dit : “ Je n’ai rien à faire ici, à Paris, où on milite pour que les gamins des bobos aient plus de tablettes numériques” », retrace ce multidiplômé (Centrale, puis l’ENA) né au Sénégal. Ici, il dit qu’il peut faire « le pont » avec les habitants de Seine-Saint-Denis. « Comme eux, j’ai été refusé en boîte, on m’a contrôlé au faciès, j’ai eu des refus de logement et je sais pour quelles raisons. » Il poursuit : « Il y a des raisons d’être révolté mais, moi, je peux aussi les tancer : “Si vous voulez réussir, la France peut vous donner une vraie chance.” » Avec sa casquette de référent, il dit encourager le renouvellement en donnant des responsabilités à des nouveaux militants. Il est candidat aux législatives en Seine-Saint-Denis.
Par Charlotte Rotman
Son rôle dans la série.
Il est référent départemental d’En marche en Seine-Saint-Denis. C’est-à-dire que c’est lui qui valide les comités locaux, nomme les responsables et coordonne les actions. Après les attentats du 13 Novembre, ce haut fonctionnaire qui travaillait au cabinet de la ministre de la Justice Christiane Taubira a décidé de quitter Paris. Il a emménagé à Aubervilliers. « Je me suis dit : “ Je n’ai rien à faire ici, à Paris, où on milite pour que les gamins des bobos aient plus de tablettes numériques” », retrace ce multidiplômé (Centrale, puis l’ENA) né au Sénégal. Ici, il dit qu’il peut faire « le pont » avec les habitants de Seine-Saint-Denis. « Comme eux, j’ai été refusé en boîte, on m’a contrôlé au faciès, j’ai eu des refus de logement et je sais pour quelles raisons. » Il poursuit : « Il y a des raisons d’être révolté mais, moi, je peux aussi les tancer : “Si vous voulez réussir, la France peut vous donner une vraie chance.” » Avec sa casquette de référent, il dit encourager le renouvellement en donnant des responsabilités à des nouveaux militants. Il est candidat aux législatives en Seine-Saint-Denis.
Par Charlotte Rotman
Samedi, « Les Jours » se sont glissés à la formation organisée par En marche et dédiée à ses apprentis candidats aux législatives.
Paris, Seine-Saint-Denis, Côte-d’Or. Exploration des scores du candidat, au fil de la géographie de « La planète Marche ».
Les militants d’En marche s’accommodent des multiples ralliements. À condition que Macron respecte sa promesse de renouveau.