Prof, journaliste… Pour la dernière fois cette année, les personnages des séries des « Jours » sont « Les électeurs ».
Son rôle dans la série.
Au tout début de l’état d’urgence, comme le ministère de l’Intérieur le trouvait « radicalisé », Brahim a été perquisitionné puis assigné à résidence pendant trois mois. Il vit depuis toujours à Échirolles, en banlieue de Grenoble. Lorsqu’il était plus jeune, il a passé une dizaine d’années en prison pour des histoires de stups qu’il a laissées derrière lui. Musulman pratiquant et « de gauche », père de deux petites filles, maçon intérimaire quand Les Jours l’ont rencontré, Brahim est devenu agent technique pour une régie de quartier. Son assignation a accru son intérêt pour l’actualité politique et l’a décidé à aller voter à l’élection présidentielle. Il penche pour Jean-Luc Mélenchon, ou Benoît Hamon s’il dépasse le stade de la primaire.
À retrouver dans l’épisode 6.
Son rôle dans la série.
Au tout début de l’état d’urgence, comme le ministère de l’Intérieur le trouvait « radicalisé », Brahim a été perquisitionné puis assigné à résidence pendant trois mois. Il vit depuis toujours à Échirolles, en banlieue de Grenoble. Lorsqu’il était plus jeune, il a passé une dizaine d’années en prison pour des histoires de stups qu’il a laissées derrière lui. Musulman pratiquant et « de gauche », père de deux petites filles, maçon intérimaire quand Les Jours l’ont rencontré, Brahim, 38 ans, est devenu agent technique pour une régie de quartier. Son assignation a accru son intérêt pour l’actualité politique et l’a décidé à aller voter à l’élection présidentielle. Il penche pour Jean-Luc Mélenchon, ou Benoît Hamon s’il dépasse le stade de la primaire.
Son rôle dans la série.
Brahim vit depuis toujours à Échirolles, en banlieue de Grenoble. Dans sa jeunesse, ses « conneries » (du trafic de stupéfiants) l’ont conduit en prison, une dizaine d’années au total. Le ministère de l’Intérieur, qui le trouve « radicalisé », l’a perquisitionné puis assigné à résidence. Ce maçon intérimaire et père de deux petites filles se définit comme « musulman pratiquant », « de gauche ». Brahim pointe trois fois par jour au commissariat de Grenoble. Il condamne sans ambiguïté les attentats de novembre et conteste le traitement qui lui est réservé. Son assignation a été levée le 18 décembre, mais ni la préfecture, ni l’hôtel de police ne l’ont prévenu et il ne l’a appris que deux mois plus tard.
Par Charlotte Rotman
Son rôle dans la série.
Brahim vit depuis toujours à Échirolles, en banlieue de Grenoble. Dans sa jeunesse, ses « conneries » (du trafic de stupéfiants) l’ont conduit en prison, une dizaine d’années au total. Le ministère de l’Intérieur, qui le trouve « radicalisé », l’a perquisitionné puis assigné à résidence. Ce maçon intérimaire et père de deux petites filles se définit comme « musulman pratiquant », « de gauche ». Brahim pointe trois fois par jour au commissariat de Grenoble. Il condamne sans ambiguïté les attentats de novembre et conteste le traitement qui lui est réservé. Son assignation a été levée le 18 décembre, mais ni la préfecture, ni l’hôtel de police ne l’ont prévenu et il ne l’a appris que deux mois plus tard.
Par Charlotte Rotman
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