Depuis 2012, le parti détenait sept des neuf circonscriptions de l’Hérault. Aucun de ses candidats ne sera au second tour.
Son rôle dans la série.
D’elle, on sait peu de choses. Mais elle est assurément l’une des plus fidèles des raouts socialistes à Montpellier. Toujours avec son chien Bounian qui aboie quand on ne s’y attend pas. Au PS, on l’appelle « Mimi ». Avec ses tenues bigarrées, ses colliers et ses hautes chaussettes de laine par tous les temps, elle vit dans son monde intérieur. Mais elle est là, toujours, comme un repère finalement rassurant pour des militants.
Par Antoine Guiral
Son rôle dans la série.
D’elle, on sait peu de choses. Mais elle est assurément l’une des plus fidèles des raouts socialistes à Montpellier. Toujours avec son chien Bounian qui aboie quand on ne s’y attend pas. Au PS, on l’appelle « Mimi ». Avec ses tenues bigarrées, ses colliers et ses hautes chaussettes de laine par tous les temps, elle vit dans son monde intérieur. Mais elle est là, toujours, comme un repère finalement rassurant pour des militants.
Par Antoine Guiral
Depuis 2012, le parti détenait sept des neuf circonscriptions de l’Hérault. Aucun de ses candidats ne sera au second tour.
Dans l’Hérault, les législatives vont sans doute se transformer en fiasco pour le parti. Dans les urnes et dans les caisses.
À la fédération de l’Hérault désertée, les militants socialistes sont sonnés, mais croient pouvoir encore peser.
Qui fera la campagne de Hamon ? Qui ralliera Macron ? À la « fédé » de l’Hérault, les armes sont rangées. Pour l’instant.