En un an de militantisme, qu’ont découvert ces six adhérentes du mouvement de Macron, sur elles et sur la politique ?
Son rôle dans la série.
Elle est candidate à Stains, en Seine-Saint-Denis. C’est là qu’elle a grandi, dans une résidence qui représentait « un monde merveilleux », avec des jeux d’enfants et les familles qui s’interpellaient d’un balcon à l’autre. Aujourd’hui, la résidence où vit toujours sa mère s’est dégradée. Et Prisca n’y laisse plus jouer seul son fils, comme elle en avait l’habitude quand elle était enfant. Elle n’avait jamais fait de politique, avant de s’engager à En marche. Consultante, mère de deux enfants, Prisca est la fille unique de parents mauriciens qui l’ont toujours poussée dans ses études. « Je suis du 93, je suis une fille d’immigrée qui a fait toutes ses études en ZEP… Ces stéréotypes, je les vis, cela m’est arrivé d’enlever une partie de mon nom sur un CV ou mon adresse postale », explique-t-elle. Quand elle a entendu l’appel à candidatures d’Emmanuel Macron pour les législatives, son premier réflexe a été de se dire : « Mais regarde-toi dans le miroir. » C’est finalement ce qui l’a décidée à se présenter.
Fin 2020, Prisca Thevenot est devenue l’une des porte-parole de La République en marche. En juillet 2023, elle entre au gouvernement comme secrétaire d’État chargée de la Jeunesse et du Service national universel. Depuis le 11 janvier 2024, elle est porte-parole du gouvernement.
Par Charlotte Rotman
Son rôle dans la série.
Elle est candidate à Stains, en Seine-Saint-Denis. C’est là qu’elle a grandi, dans une résidence qui représentait « un monde merveilleux », avec des jeux d’enfants et les familles qui s’interpellaient d’un balcon à l’autre. Aujourd’hui, la résidence où vit toujours sa mère s’est dégradée. Et Prisca n’y laisse plus jouer seul son fils, comme elle en avait l’habitude quand elle était enfant. Elle n’avait jamais fait de politique, avant de s’engager à En marche. Consultante, mère de deux enfants, Prisca est la fille unique de parents mauriciens qui l’ont toujours poussée dans ses études. « Je suis du 93, je suis une fille d’immigrée qui a fait toutes ses études en ZEP… Ces stéréotypes, je les vis, cela m’est arrivé d’enlever une partie de mon nom sur un CV ou mon adresse postale », explique-t-elle. Quand elle a entendu l’appel à candidatures d’Emmanuel Macron pour les législatives, son premier réflexe a été de se dire : « Mais regarde-toi dans le miroir. » C’est finalement ce qui l’a décidée à se présenter.
Fin 2020, Prisca Thevenot est devenue l’une des porte-parole de La République en marche. En juillet 2023, elle entre au gouvernement comme secrétaire d’État chargée de la Jeunesse et du Service national universel. Depuis le 11 janvier 2024, elle est porte-parole du gouvernement.
Par Charlotte Rotman
Son rôle dans la série.
Elle est candidate à Stains, en Seine-Saint-Denis. C’est là qu’elle a grandi, dans une résidence qui représentait « un monde merveilleux », avec des jeux d’enfants et les familles qui s’interpellaient d’un balcon à l’autre. Aujourd’hui, la résidence où vit toujours sa mère s’est dégradée. Et Prisca n’y laisse plus jouer seul son fils, comme elle en avait l’habitude quand elle était enfant. Elle n’avait jamais fait de politique, avant de s’engager à En marche. Consultante, mère de deux enfants, Prisca est la fille unique de parents mauriciens qui l’ont toujours poussée dans ses études. « Je suis du 93, je suis une fille d’immigrée qui a fait toutes ses études en ZEP… Ces stéréotypes, je les vis, cela m’est arrivé d’enlever une partie de mon nom sur un CV ou mon adresse postale », explique-t-elle. Quand elle a entendu l’appel à candidatures d’Emmanuel Macron pour les législatives, son premier réflexe a été de se dire : « Mais regarde-toi dans le miroir. » C’est finalement ce qui l’a décidée à se présenter.
Fin 2020, Prisca Thevenot est devenue l’une des porte-parole de La République en marche. En juillet 2023, elle entre au gouvernement comme secrétaire d’État chargée de la Jeunesse et du Service national universel. Depuis le 11 janvier 2024, elle est porte-parole du gouvernement.
Par Charlotte Rotman
En un an de militantisme, qu’ont découvert ces six adhérentes du mouvement de Macron, sur elles et sur la politique ?
L’ex-conseiller du président est désormais député. Son ambition au Palais-Bourbon : œuvrer à la cohésion avec l’exécutif.
Prisca Thevenot, candidate En marche suivie par « Les Jours », a perdu face à Marie-George Buffet dans le fief de la communiste.
La candidate d’En marche, suivie par « Les Jours », est qualifiée pour le second tour en Seine-Saint-Denis.
Depuis la présidentielle, le nombre d’inscrits dans les comités locaux d’En marche a augmenté de 50 %.
Prisca Thevenot a découvert la politique avec Macron. Elle n’imaginait pas se retrouver un jour candidate en Seine-Saint-Denis.
Marianna et Bouchra, deux néophytes, n’ont pas été investies par En marche aux législatives. À leur place : deux hommes du QG.
Samedi, « Les Jours » se sont glissés à la formation organisée par En marche et dédiée à ses apprentis candidats aux législatives.
Ils ont tracté pour Macron, ils visent l’Assemblée : En marche a ses candidats mais des circonscriptions restent à pourvoir.
Injures, portes claquées : depuis le premier tour, la « bienveillance » des militants d’En marche, prônée par Macron, prend cher.