Contrairement à celui contre le Covid, un vaccin protégeant du sida tarde à émerger. La faute au VIH, qui mute plus que le Sars-Cov-2.
Son rôle dans la série.
Faut-il encore présenter le Sars-CoV-2 ? Début 2020, on l’observe faire ses premières victimes en Chine. On l’appelle alors « le nouveau coronavirus » ou « 2019-nCoV ». Le 24 janvier, trois premiers cas sont confirmés en France. Le 3 février, son génome est publié dans la revue Nature, et sa proximité avec un virus de chauve-souris (RaRG13-CoV) établie. Certains le prennent encore pour une grippette, d’autres se méfient de sa ressemblance avec le Sras et le Mers, les deux coronavirus humains responsables d’épidémies mortelles en 2003 et 2012. Deux millions de morts du Covid-19 plus tard, on peut le dire : personne n’anticipait le tsunami pandémique qui se déchaînerait par vagues successives sur la planète pendant toute l’année 2020. 2021 sera-t-elle l’année de son vaccin ?
Contrairement à celui contre le Covid, un vaccin protégeant du sida tarde à émerger. La faute au VIH, qui mute plus que le Sars-Cov-2.
Certaines personnes développent une forme qui dure des mois, aux symptômes variés qui leur pourrissent la vie. La médecine est désemparée.
Avec les vaccins Pfizer et Moderna, la technologie a marqué des points. Et le boom arrive : nouveaux usages, variantes révolutionnaires…
Il est loin, le temps où l’hydroxychloroquine faisait la une. Les vaccins ont pris la place. Mais de nouveaux remèdes s’annoncent…
Des simples « hésitants » aux antivax, la pandémie cristallise la défiance envers l’État et les Big Pharma. Comment en est-on arrivé là ?
Le Covid entre par le nez ? Chassons-le dès la porte franchie ! C’est le principe des vaccins muqueux, aux premiers tests encourageants.
La stratégie de vacciner en priorité les personnes âgées semble évidente ? Pourtant, elle est le résultat de savants calculs.