Replay. « Les Jours » ont mis leur masque pour raconter la plus inédite des soirées électorales pour le plus bizarre des scrutins.
Son rôle dans la série.
Son parti (ou plutôt son mouvement) : « Aimer Paris ».
Sa grosse promesse : un numéro vert et un site internet dédiés à la propreté de la capitale, pour que les Parisiens puissent « signaler les concentrations de crasse ».
Sa promesse la plus grosse : dans les mêmes eaux, « réformer le système de balayage », qui serait encore plus « défaillant » (en faisant appel à des entreprises privées qui seraient « mises en concurrence et rémunérées en fonction de leur résultat », bien sûr).
Son taux de parisianité : né à Paris à l’hôpital Saint-Antoine dans le XIIe arrondissement, Federbusch a étudié à Sciences-Po puis à l’ENA. Il brigue la mairie de Paris depuis un temps certain : nommé conseiller de Bertrand Delanoë en 2001, il le quitte en 2007 (et fonde Delanopolis, un site satirique sur la politique de l’édile) puis est candidat en 2008 sur la liste de Françoise de Panafieu (UMP) et est élu conseiller du Xe. En 2018, il annonce sa candidature aux élections municipales de 2020. Pour l’occasion, l’énarque a créé son propre mouvement, dont l’entrepreneur Charles Beigbeder est le premier supporter – ils avaient déjà tenté de s’emparer de la capitale en 2014 avec le parti « Paris libéré ». Sans grand succès : 4,85 % des voix.
Son soutien qui claque : le Rassemblement national (qui ne présente pas de candidat. Sachant qu’il n’a aucune chance à Paris ?)
Son slogan : « La nouvelle voie des Parisiens ».
Sa profession : magistrat administratif.
Sa date de naissance : il est né en 1960, l’année de sortie d’À bout de souffle.
Replay. « Les Jours » ont mis leur masque pour raconter la plus inédite des soirées électorales pour le plus bizarre des scrutins.
Replay. « Les Jours » ont raconté le débat entre les principaux candidats à la mairie. Attention, ça a tiré à balles réelles.