Pierre Morel a suivi la COP21 pour « Les Jours ». Il nous raconte son quotidien durant les douze jours de cet événement.
Pierre Morel a suivi la COP21 pour « Les Jours ». Il nous raconte son quotidien durant les douze jours de cet événement.
Très présentes à la conférence de Paris, les multinationales ont adopté une communication subtile. Ce qui leur a permis de « greenwasher » en toute tranquillité.
Pendant la COP21, entreprises et ONG ont cherché à séduire l’opinion publique
en diffusant des messages simples, mais elles ont évité les débats qui pourraient les mettre en porte-à-faux.
Financé par les entreprises, ce think tank qui veut « décarboner » l’économie est un outil bien pratique pour communiquer sur leurs engagements climatiques.
À la tête de Total depuis décembre 2014, Patrick Pouyanné s’affiche comme un homme sympa et ouvert aux questions climatiques. Mais l’intérêt de son entreprise passe avant tout.
Pour pousser BNP Paribas à arrêter de financer le charbon, l’ONG les Amis de la Terre a multiplié les actions contre la banque. Exemple en octobre, devant une agence à Paris.
Les entreprises françaises promettent de se désengager de l’énergie fossile la plus polluante pour apparaître irréprochables le temps de la COP.