Info « Les Jours ». À la une du premier numéro du nouvel hebdo de la galaxie Bolloré, le visage du symbole de la République est en réalité celui de l’icône catholique.
Info « Les Jours ». À la une du premier numéro du nouvel hebdo de la galaxie Bolloré, le visage du symbole de la République est en réalité celui de l’icône catholique.
Sorti ce mercredi, le premier numéro du nouveau magazine de Vincent Bolloré enfile les poncifs réacs et les signatures moisies. Et vice-versa.
Désormais détenu par Vincent Bolloré, le journal sera dirigé par l’ancien de « Valeurs actuelles ». La rédaction a illico voté la grève.
Officiellement lancée ce jeudi, la prise de contrôle bolloréenne, déjà effective à Europe 1, s’étend au « JDD » et à « Paris Match ».
Info « Les Jours ». 98, c’est le chiffre des départs au sein de la radio à l’issue de l’ultime plan. Restent Bolloré et une antenne CNewsisée.
Tandis que débute la grille made in Bolloré, les nouveaux venus de CNews se félicitent sur WhatsApp et la radio se vide.
Info « Les Jours ». La station est en train de voir partir une centaine de salariés, virés ou démissionnés. À la rentrée, place à Bolloré !
Dans la radio aux mains de Bolloré, le mouvement s'achève, entre fierté et amertume, sur la promesse d'une « simili clause de conscience ».
Arrivée de Laurence Ferrari, antenne partagée avec CNews… Les annonces de Lagardère, télécommandées depuis Canal+, ulcèrent la rédaction.
Info « Les Jours ». La « rupture conventionnelle » est ouverte, visant 39 postes. Mais déjà plusieurs voix sont écartées de la station.
Promise à Bolloré, la rédaction tente de se mobiliser, tandis qu’un plan d’économies se prépare. Sale ambiance derrière les micros.
Grandes manœuvres chez Lagardère : Bolloré attaque, le Qatar se retourne, Arnault entre au capital… Ça tire à balles réelles.
Tous les samedis, le dessinateur Loïc Sécheresse tire un trait sur l’actu. Aujourd’hui, la gueuse, le preux et le prophète.
L’entourloupe de la direction, qui nomme Louis de Raguenel chef adjoint du service politique, laisse la rédaction sans voix et désespérée.
Le red chef de « Valeurs actuelles » arrive bel et bien au service politique. Lagardère en aura-t-il fini un jour de couler son empire ?