
Années 1930 ou 2020, superprofits ou pertes… Ça ne change rien : Total distribue de généreux dividendes. Et tant pis pour les investissements.
Années 1930 ou 2020, superprofits ou pertes… Ça ne change rien : Total distribue de généreux dividendes. Et tant pis pour les investissements.
Malgré ses succès commerciaux, la filiale solaire est restée le parent pauvre du groupe pétrolier, avant d’être tout simplement sacrifiée.
À la fin des années 1970, le pétrolier a été un pionnier de l’énergie solaire… avant de tout laisser tomber. Enquête dans les archives.
Via le ministre des Finances, la compagnie impose le « bénéfice mondial consolidé », qui fait discrètement s’évaporer l’impôt. Le coup parfait.
Dès 1955, l’entreprise empile les succursales et les filiales dans de savants montages financiers. Le but : échapper à l’impôt en France.
« Les Jours » ont mis la main sur des archives inédites qui détaillent le premier montage offshore du pétrolier pour réduire ses impôts.
Il fut un temps où Total était taxé en France… puis un accord entre États-Unis et Arabie saoudite a chamboulé la fiscalité du pétrole.
Dans la tourmente, l’entreprise se rend compte cette année-là qu’elle a tout intérêt à parler à l’opinion pour imposer ses (contre)vérités.
Cette année-là, une commission parlementaire révèle les avantages fiscaux du pétrolier. Près de 50 ans plus tard, rien ou presque n’a changé.