Les nouvelles molécules comme le sémaglutide sont-elles une bonne nouvelle pour la santé des personnes grosses… et contre la grossophobie ? Pas sûr.
Docteure en pharmacie, j’ai tombé la blouse pour me consacrer au journalisme. Des années à étudier les médicaments et quelques autres à les délivrer, ça laisse des traces. J’écris sur la santé sous tous les angles : scientifique, sociologique, économique, politique. J’aime traiter des sujets du quotidien et permettre à ceux et celles qui me lisent de mieux s’approprier leur santé. J’aime aussi me consacrer à des enquêtes : comment les lobbies alcooliers ciblent-ils les enfants ? Qui fournit les médicaments injectés aux condamnés à mort américains ? Comment les mafias italiennes profitent-elles de la crise sanitaire ? Je suis coautrice du livre Le ventre, notre deuxième cerveau, paru aux éditions Tallandier en 2014.
Les nouvelles molécules comme le sémaglutide sont-elles une bonne nouvelle pour la santé des personnes grosses… et contre la grossophobie ? Pas sûr.
Troubles gastro-intestinaux, pensées suicidaires… Loin des fantasmes, des études commencent à tomber sur les nouveaux médicaments anti-obésité.
Depuis des décennies, la recherche d’un médicament amaigrissant se heurte à des scandales sanitaires en cascade. Et si l’Ozempic était la solution ?
Cet antidiabétique fait perdre du poids. Hollywood ne s’y est pas trompé. Mais il attise aussi les craintes, nombreuses et parfois infondées.
Contrairement à celui contre le Covid, un vaccin protégeant du sida tarde à émerger. La faute au VIH, qui mute plus que le Sars-Cov-2.
Certaines personnes développent une forme qui dure des mois, aux symptômes variés qui leur pourrissent la vie. La médecine est désemparée.
Avec les vaccins Pfizer et Moderna, la technologie a marqué des points. Et le boom arrive : nouveaux usages, variantes révolutionnaires…
Il est loin, le temps où l’hydroxychloroquine faisait la une. Les vaccins ont pris la place. Mais de nouveaux remèdes s’annoncent…