Les Jours ont inventé un nouveau journalisme : raconter l’actualité à la façon de séries. Attention, pas de fiction ici ! Tous les personnages de ces histoires sont vrais. C’est vous, c’est nous. C’est notre monde.
En deux ans, cette forme de récit novatrice a été reconnue pour sa qualité. Nous avons ainsi reçu un prix Albert-Londres, publié quatre livres tirés de nos enquêtes et démontré que le journalisme peut à la fois avoir de la mémoire et être ancré dans l’actualité.
« Les Jours », c’est quoi ? Les Jours sont un média indépendant et sans publicité qui raconte l’actualité à la manière de séries, avec des épisodes, des personnages, des lieux… Nous défendons un journalisme au long cours, tenace, singulier et obsessionnel. Les Jours ont été fondés en 2016 par d’anciens journalistes de Libération (qui, heureusement, ne sont plus tout seuls aujourd’hui).
Des enquêtes en profondeur
Les Jours sont un média généraliste, qui traite donc toutes sortes de sujets. Nous plongeons dans les coulisses des pouvoirs (L’Empire, Les communicants, Les conseillers, Les lobbyistes). Nous faisons de l’investigation sur des sujets mis de côté par les médias dépendants de la pub, comme l’industrie cosmétique, l’alimentation bio ou le people (Le vrai du bio, Autour du pot, La cause du people). Nous traitons le fait divers au très long cours (Le Grêlé, Grégory). Nous passons également chaque année une année entière dans un établissement scolaire (Les années collège, Les années lycée, Les années fac) pour raconter de l’intérieur les enjeux de l’éducation. Nous racontons l’envers d’un plan social (Le plan D, sur SFR), le quotidien de la vie d’une députée (Députée Obono), celui d’une agence Pôle emploi (La vie Pôle emploi)…
Découvrez toutes nos séries.
Un média indépendant aux financements transparents Les Jours ont le statut d’entreprise solidaire de presse d’information. Leur capital appartient à près de 74 % à ses neuf fondateurs. Près de 8 % du capital est participatif, détenu par la Société des amis (des abonnés actionnaires) et des actionnaires venus en equity crowdfunding. D’autres investisseurs privés nous accompagnent. Dans un souci de totale transparence, la répartition de notre capital ainsi que l’ensemble de nos financements sont publiés sur notre site.
Pas de pub, pas d’utilisation de données La recherche de l’audience publicitaire (« faire du clic ») est à l’opposé de la proposition éditoriale des Jours, de nos exigences graphiques et, surtout, de notre exigence d’indépendance. Par ailleurs, nous ne revendons aucune donnée concernant nos abonnés ou l’utilisation de nos sites et applications, et ne conservons de votre navigation que les données nécessaires à une lecture personnalisée (articles en cours de lecture, obsessions suivies, etc.).
Des applis pour lire partout Grâce à l’appli des Jours, sur iPhone et Android, vous pouvez télécharger des épisodes ou des séries entières, et les lire hors-ligne : dans le train, le métro, à la campagne ou sous l’eau.
Une lecture personnalisée Suivre vos séries préférées et être prévenu·e des nouveaux épisodes, reprendre votre lecture où vous l’avez laissée. Avoir un deuxième compte gratuit pour votre conjoint·e, colocataire ou animal de compagnie… Les Jours offrent une expérience de lecture totalement personnalisable.
Des enquêtes qui deviennent des livres Les Jours sont partenaires avec les éditions du Seuil, qui publient une partie de nos séries en livres. Quatre ouvrages sont déjà nés de cette coédition : L’Empire, par Isabelle Roberts et Raphael Garrigos, Les revenants, par David Thomson et Le 36 et Grégory, par Patricia Tourancheau. D’autres sont à venir.
Un prix Albert-Londres En 2017, Les revenants de David Thomson, exceptionnelle série sur les jihadistes de retour en France, publiée en livre dans la collection Le Seuil-Les Jours a obtenu le prestigieux prix Albert-Londres, la principale reconnaissance journalistique en France. En 2018, le mot « revenant » est rentré dans le dictionnaire Robert.
Des innovations à vous couper le souffle Non, Les Jours ne font pas rien qu’à écrire de longs textes avec leurs petits doigts, ils inventent aussi régulièrement de nouveaux formats, de nouvelles manières de raconter l’information. Quelques exemples : le Magouillotron, machine du futur qui permet de comprendre toutes les affaires politico-financières, la série À data sur la politique, les podcasts des Jours, les playlists des séries, et nos émissions live qui permettent de s’immerger dans les séries.
Un désabonnement tout simple Les Jours ne vous prennent pas pour des jambons. Quand on vous dit « abonnement sans engagement », c’est sans engagement : vous pouvez vous désabonner directement en ligne dans votre compte ou en nous envoyant un simple mail. Comme c’est assez rare, nous le précisons.