Chères jouristes, chers jouristes,
C’est désormais une tradition : chaque premier mercredi du mois, à l’heure où retentit la sirène (midi), vous recevez « Les dessous des “Jours” », notre newsletter mensuelle. N’hésitez pas à nous donner votre avis ou à nous envoyer vos questions sur les coulisses des Jours à [email protected] !
La campagne des « Jours » est terminée mais continuez à soutenir « Les Jours ». Un grand merci à toutes et tous qui avez participé à notre campagne et soutenu Les Jours. Plus de 1 700 nouveaux jouristes nous ont rejoints, ce qui nous donne de l’oxygène, un peu plus de temps et nous permet de lancer de nouveaux projets. Cependant, l’objectif de l’équilibre économique n’est pas atteint, alors continuez à vous abonner, à faire connaître Les Jours, sur les réseaux sociaux ou en vrai, à abonner votre mémé et votre animal domestique. Isabelle Roberts, présidente des Jours, vous explique tout ici.
« Les mécènes » au 61. Ce mercredi 6 novembre, venez rencontrer notre journaliste Nicolas Cori pour échanger sur son obsession Les Mécènes, sous-titrée « Enquête sur le business de la charité ». C’est au bar Le 61 à partir de 19 h 30. Entrée libre au 3 rue de l’Oise, 75019 Paris.
La meilleure nouvelle du mois. La nouvelle appli mobile des Jours est disponible ! Elle est belle, elle marche bien, sur iOS comme sur Android. C’est notre développeur de génie Adrien Eraud qui l’a fabriquée. Pour en savoir plus, tout est expliqué dans cet article.
Le lounge Alexandre Benalla. Bonne résolution a été prise et tenue : nous avons enfin viré tous ces vieux cartons au fond de la rédac, rangé des dizaines d’aimants rouges dans une petite boîte et balayé le long des plinthes. Une table basse providentielle bien qu’un peu encombrante a été installée en lieu et place du bazar. On n’attend plus que les sièges jaunes en forme de poire pour pouvoir inaugurer le « lounge Alexandre Benalla », puisque nous l’avons baptisé ainsi, soit un minisalon destiné à divers usages. « La sieste », selon Camille Polloni, « travailler avec son ordinateur portable », selon Isabelle Roberts, « des petites réunions réservées aux gens qui ne parlent pas fort », selon Raphaël Garrigos. Il nous faudra donc inviter des gens qui ne parlent pas fort.
Si vous avez raté le début. On ne sait pas si vous avez remarqué, mais finalement le Brexit n’a pas eu lieu le 31 octobre. Ce qui vous laisse un peu de répit (combien de temps par contre, mystère) pour rattraper les huit premiers épisodes de l’obsession Anarchy in the UK, par Marion L’Hour.
Le mot que vous ne connaissiez pas. Dans les articles des Jours, les exergues s’affichent en gros caractères, de deux couleurs différentes. Nous les appelons des « bigoûts », en hommage à un célèbre chewing-gum des années 1990. Comment manier cette expression en société ? Explications avec Lucile Sourdès-Cadiou, éditrice : « J’ai mis cette phrase-là en bigoût, c’est une bonne punchline » ou « Je vais couper un peu le bigoût, j’aime bien que ça dépasse pas quatre lignes ».
« Les Jours » sur France Info. « L’enquête du dimanche avec “Les Jours” » reçoit chaque semaine un ou une journaliste qui vient raconter son obsession en cours. L’émission est diffusée trois fois dans la journée, à 10 h 24, 12 h 24 et 18 h 24. Au cours des dernières semaines, vous avez pu y écouter Cécile Cazenave pour Extinction Rebellion : action, Sophian Fanen pour SUV qui peut, Aurore Gorius pour Avaler la pilule ou Raphaël Garrigos pour L’empire. Dernier épisode en date : Marion L’Hour pour Anarchy in the UK.
Venez à la maison. Une fois par mois, nous ouvrons notre conférence de rédaction à deux abonné·e·s. Qui veut venir à la prochaine ? Ce sera le jeudi 21 novembre à 11 heures. Écrivez à [email protected] pour vous inscrire. Premier·ère·s arrivé·e·s, premier·ère·s servi·e·s !
Les titres auxquels vous avez échappé. La tempête de cerveaux a été intense pour trouver un titre à la série de Camille Polloni sur le procès du financement du FN via le microparti Jeanne. « Jeanne et les garçons formidables », « Ainsi Front, Front, Front », « Être une flamme libérée (tu sais, c’est pas si facile) », « GUD save the queen », « Plongée sous Marine », « Mains propres et argent sale », « Toute Pen mérite salaire », ainsi que ce talentueux quoique n’ayant rien à voir « Le fric de Beverly Hills ». Du coup, on est d’accord : À Front la caisse, c’est pas mal.
Bon mois de novembre à vous, et la suite au prochain numéro.
Les Jours