L’homme a commis deux meurtres et a été condamné en première instance pour un troisième. Y en a-t-il d’autres ? Le trouble est là…
Son rôle dans la série.
Après plus de vingt ans consécutifs derrière les barreaux, Jacques Rançon pourra demander un aménagement de sa peine en 2040. Le sexagénaire, originaire de la Somme, a un casier judiciaire épais, rempli de condamnations pour agressions sexuelles, viols et, depuis 2018, meurtres. Tous les crimes et les délits que l’on connaît aujourd’hui de lui, il les a commis entre la campagne amiénoise et l’hypercentre perpignanais. La plupart des enquêteurs et des magistrats qui ont croisé sa route sont cependant convaincus que d’autres affaires portent sa signature. Mais aujourd’hui, Jacques Rançon l’assure : les deux jeunes femmes tuées près de la gare de Perpignan à la fin des années 1990 sont ses seules victimes de meurtres.
L’homme a commis deux meurtres et a été condamné en première instance pour un troisième. Y en a-t-il d’autres ? Le trouble est là…
Près de 35 ans après le meurtre d’Isabelle Mesnage, le verdict est tombé. Malgré les interrogations qui entourent ce trop vieux cold case.
Le 3 juillet 1986, un corps de femme est découvert. Ce mardi, Jacques Rançon est dans le box des accusés. Il a failli ne jamais l’être.
À partir du 8 juin, le tueur de la gare de Perpignan comparaît pour le meurtre d’Isabelle Mesnage. Son passé et sa pensée vont être scrutés.