En 1987, un inconnu armé viole une femme puis une adolescente à Paris. À chaque fois, il exhibe une carte tricolore et ligote ses victimes…
Son rôle dans la série.
Né en 1962, Luc Richard-Bloch a perdu sa petite sœur de 11 ans, Cécile, assassinée le 5 mai 1986 au sous-sol de leur résidence, au 116 rue Petit dans le XIXe arrondissement de Paris. Il avait 24 ans. Il habitait avec Cécile chez sa mère et son beau-père, Jean-Pierre Bloch. Il a pris l’ascenseur le matin avec le tueur et a fourni des détails qui ont permis d’établir un portrait-robot de cet homme à la peau tavelée. En 1987, étudiant en DEA de physiologie cellulaire et moléculaire des plantes, il fait un stage dans un laboratoire du CNRS à Gif-sur-Yvette (Essonne) et pratique la manipulation de l’ADN. Il s’aperçoit qu’en Belgique et en Angleterre existent déjà des méthodes d’identification criminelle par les empreintes génétiques. Il s’en ouvre aux enquêteurs de la crim’ et demande à la juge l’autorisation de faire pratiquer, dans un labo privé belge, l’analyse ADN des scellés prélevés sur sa sœur. La magistrate n’a jamais répondu. Sa mère a été tuée dans un accident de la route en 1989. C’est son beau-père, Jean-Pierre, qui menait le combat pour trouver le criminel. Mais après le décès de celui-ci, Luc s’est rapproché d’un centre de psychotraumatologie. Il a « repris les choses en mains » et changé d’avocat. Il se replonge douloureusement dans ce dossier. Maître de conférences en biologie à Jussieu, le frère de Cécile Bloch y « pense tous les jours en prenant l’ascenseur » et revoit le visage de ce meurtrier à peu près de son âge qui affichait « une détermination impressionnante » juste avant de commettre son crime.
Par Patricia Tourancheau
Son rôle dans la série.
Né en 1962, Luc Richard-Bloch a perdu sa petite sœur de 11 ans, Cécile, assassinée le 5 mai 1986 au sous-sol de leur résidence, au 116 rue Petit dans le XIXe arrondissement de Paris. Il avait 24 ans. Il habitait avec Cécile chez sa mère et son beau-père, Jean-Pierre Bloch. Il a pris l’ascenseur le matin avec le tueur et a fourni des détails qui ont permis d’établir un portrait-robot de cet homme à la peau tavelée. En 1987, étudiant en DEA de physiologie cellulaire et moléculaire des plantes, il fait un stage dans un laboratoire du CNRS à Gif-sur-Yvette (Essonne) et pratique la manipulation de l’ADN. Il s’aperçoit qu’en Belgique et en Angleterre existent déjà des méthodes d’identification criminelle par les empreintes génétiques. Il s’en ouvre aux enquêteurs de la crim’ et demande à la juge l’autorisation de faire pratiquer, dans un labo privé belge, l’analyse ADN des scellés prélevés sur sa sœur. La magistrate n’a jamais répondu. Sa mère a été tuée dans un accident de la route en 1989. C’est son beau-père, Jean-Pierre, qui menait le combat pour trouver le criminel. Mais après le décès de celui-ci, Luc s’est rapproché d’un centre de psychotraumatologie. Il a « repris les choses en mains » et changé d’avocat. Il se replonge douloureusement dans ce dossier. Maître de conférences en biologie à Jussieu, le frère de Cécile Bloch y « pense tous les jours en prenant l’ascenseur » et revoit le visage de ce meurtrier à peu près de son âge qui affichait « une détermination impressionnante » juste avant de commettre son crime.
Par Patricia Tourancheau
En 1987, un inconnu armé viole une femme puis une adolescente à Paris. À chaque fois, il exhibe une carte tricolore et ligote ses victimes…
L’ADN a parlé : François Vérove, l’ex-gendarme qui s’est suicidé mercredi, est bien le tueur et violeur en série recherché depuis 1986.
Trente ans après la mort de Cécile Bloch, les policiers refont l’enquête et imaginent ce qu’a pu devenir le Grêlé.
En 2005, près de vingt ans après la mort de Cécile Bloch, les enquêteurs lancent une opération de la dernière chance…
En 2001, quinze ans après la mort de Cécile Bloch, une singulière profileuse belge lance une enquête parallèle.
En 2001, la crim’ en est sûre, le Grêlé a aussi assassiné une jeune Allemande. Qui a inscrit un nom étrange sur un carnet…
En 1997, plus de dix ans après les faits, l’assassin de Cécile Bloch court toujours. La crim’, elle, multiplie les pistes.
En 1996, dix ans après la mort de Cécile Bloch, l’ADN de son assassin est isolé. Enfin un coup de fouet pour l’enquête ?
En ce printemps 1986, l’inspecteur Pasqualini a une intuition : l’assassin de Cécile Bloch est un criminel en série.
Plusieurs témoins ont croisé le suspect numéro 1 du meurtre de Cécile Bloch. La police va pouvoir tirer son portrait-robot.