Dans l’Hérault, les législatives vont sans doute se transformer en fiasco pour le parti. Dans les urnes et dans les caisses.
Son rôle dans la série.
Conseiller départemental et président du groupe PS au conseil municipal de Montpellier, Michaël Delafosse – 40 ans en avril – est venu à la politique par le syndicalisme lycéen et étudiant. Encarté au Parti socialiste à 16 ans, il est un ami proche de Benoît Hamon. Adjoint à la Culture puis à l’Urbanisme du précédent maire PS de Montpellier, cet enseignant est aujourd’hui l’opposant numéro 1 du premier magistrat de la ville, Philippe Saurel (ex-PS). Et guignera le fauteuil de maire lors des prochaines élections municipales.
Par Antoine Guiral
Son rôle dans la série.
Conseiller départemental et président du groupe PS au conseil municipal de Montpellier, Michaël Delafosse – 40 ans en avril – est venu à la politique par le syndicalisme lycéen et étudiant. Encarté au Parti socialiste à 16 ans, il est un ami proche de Benoît Hamon. Adjoint à la Culture puis à l’Urbanisme du précédent maire PS de Montpellier, cet enseignant est aujourd’hui l’opposant numéro 1 du premier magistrat de la ville, Philippe Saurel (ex-PS). Et guignera le fauteuil de maire lors des prochaines élections municipales.
Par Antoine Guiral
Dans l’Hérault, les législatives vont sans doute se transformer en fiasco pour le parti. Dans les urnes et dans les caisses.
À la fédération de l’Hérault désertée, les militants socialistes sont sonnés, mais croient pouvoir encore peser.
Ce vendredi à Montpellier, deux militants PS tractaient dans une cité. Ils n’y ont récolté qu’une indifférence polie.
Jeudi soir, le temps d’un meeting débridé, le candidat a galvanisé ses militants. Qui y ont cru, ou fait semblant d’y croire.
Les socialistes de l’Hérault ont organisé des cafés citoyens pour « vendre » le programme de Hamon. Dans un certain entre-soi.
Les socialistes de l’Hérault, divisés et, pour certains, démotivés, ont du mal à faire campagne pour leur candidat.