Entre sondages opaques et récupération politique, « Les Jours » mettent les pieds dans le plat préféré des Français.
Son rôle dans la série.
Ils ont tous les deux 25 ans, elle est portée sur le salé, lui sur le sucré. Paula est chargée de communication en alternance, Adrien (un « gourmand ») est éducateur spécialisé.
Plat préféré : « C’est trop dur de choisir tant ma liste est longue. Mettons des pâtes aux légumes ou des gyozas. » (Paula) ; tête de veau et gratin dauphinois (Adrien).
Mets détesté : les blettes (Paula) ; les fruits, surtout les oranges (Adrien).
Plaisir coupable (en termes de santé) : « Le gras, miam, miam » (Paula) ; les biscuits genre Pépito (Adrien).
Principal lieu de ravitaillement : le Franprix d’en bas dans le XXe arrondissement à Paris (avec du bio si pas trop cher, et en scrutant Nutri-Score sans se priver d’écarts), Picard, parfois le marché.
Plat doudou de l’enfance : « Les croquetas de jamón de ma grand-mère » (Paula) ; « Du saumon avec de la sauce à l’aneth faite maison » (Adrien).
Un dîner idéal : « Un repas entre amies et amis à Sort-en-Chalosse (près de Dax) où tout le monde a mis la main à la pâte » (Paula) ; « Un bon resto avec une entrecôte et de l’aligot » (Adrien).
Par Catherine Mallaval
Entre sondages opaques et récupération politique, « Les Jours » mettent les pieds dans le plat préféré des Français.
La fausse barbaque envahit supermarchés et tables de Noël. Destination : l’estomac des végés, végans et flexis. Une boulette ?
Le barbecue va exploser en France et brûler son image d’activité du dimanche hyper genrée. C’est le maître du gril qui le prédit.
Un rapport de l’Anses établit pour la première fois le rapport entre les additifs contenus dans la charcuterie et le cancer. Historique.
Hyper, supérette ou commerce de bouche ? On s’en fout, on veut juste du pas cher, bon, bio, local et de saison : commissions impossibles.