Il est pauvre en gras, riche en protéines et coûte un bras : dans nos frigos, le yaourt islandais fait un putsch qui passe crème.
Son rôle dans la série.
Pauline, 32 ans, aime autant le sucré que le salé, les chiffres que les chiffons, et est business analyst dans la mode. Cuisinière top niveau, elle est pour l’heure un peu en mode pause côté fourneaux, même si, pour elle « manger c’est la vie ! Du partage, du voyage et puis surtout, c’est beau ».
Plat préféré : les pâtes, toutes !
Mets détesté : les endives au jambon.
Plaisir coupable (en termes de santé) : « La Vacherie, le burger en bas de chez moi. »
Principal lieu de ravitaillement : Monoprix, le marché de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), la fromagerie des plateaux à Saint-Ouen, avec le souci d’acheter de saison, si possible local, et sans céder aux plats préparés.
Plat doudou de l’enfance : « Les escalopes de dinde à la normande de ma maman. »
Un dîner idéal : « Ce serait un repas avec les copains où chacun cuisine sa spécialité et la fait partager. Et du vin, évidemment. »
Par Catherine Mallaval
Il est pauvre en gras, riche en protéines et coûte un bras : dans nos frigos, le yaourt islandais fait un putsch qui passe crème.
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