Ils ont tracté pour Macron, ils visent l’Assemblée : En marche a ses candidats mais des circonscriptions restent à pourvoir.
Son rôle dans la série.
Ce banquier parisien d’origine lyonnaise est un membre actif du mouvement En marche. Son engagement politique remonte à ses 25 ans, quand il a pris fait et cause pour José Bové après son « démontage » du McDonald’s de Millau, dans l’Aveyron, en 1999. Pierre-Marie s’est alors impliqué dans le mouvement altermondialiste ; c’est l’époque, par exemple, de la bataille pour la taxe Tobin. En 2002, il rejoint les chevènementistes et s’engage dans l’association Génération République. En 2005, il bataille pour le non au traité constitutionnel. « C’était le non de gauche, celui de Fabius et Montebourg », explique-t-il. Il a ensuite voté pour Royal en 2007, puis Bayrou en 2012. « J’ai toujours eu le sentiment d’une rente historique, utilisée par le PS comme par les gaullistes, par fidélité à ce qu’ils avaient fait, et qui les rendait incontournables. » Alors quand il a vu la « démarche » de Macron de « partir de la base », il est allé voir. Il aime l’ambiance des comités et est tout à fait d’accord avec le constat de Macron d’une « société bloquée ».
Par Charlotte Rotman
Son rôle dans la série.
Ce banquier parisien d’origine lyonnaise est un membre actif du mouvement En marche. Son engagement politique remonte à ses 25 ans, quand il a pris fait et cause pour José Bové après son « démontage » du McDonald’s de Millau, dans l’Aveyron, en 1999. Pierre-Marie s’est alors impliqué dans le mouvement altermondialiste ; c’est l’époque, par exemple, de la bataille pour la taxe Tobin. En 2002, il rejoint les chevènementistes et s’engage dans l’association Génération République. En 2005, il bataille pour le non au traité constitutionnel. « C’était le non de gauche, celui de Fabius et Montebourg », explique-t-il. Il a ensuite voté pour Royal en 2007, puis Bayrou en 2012. « J’ai toujours eu le sentiment d’une rente historique, utilisée par le PS comme par les gaullistes, par fidélité à ce qu’ils avaient fait, et qui les rendait incontournables. » Alors quand il a vu la « démarche » de Macron de « partir de la base », il est allé voir. Il aime l’ambiance des comités et est tout à fait d’accord avec le constat de Macron d’une « société bloquée ».
Par Charlotte Rotman
Son rôle dans la série.
Ce banquier parisien d’origine lyonnaise est un membre actif du mouvement En marche. Son engagement politique remonte à ses 25 ans, quand il a pris fait et cause pour José Bové après son « démontage » du McDonald’s de Millau, dans l’Aveyron, en 1999. Pierre-Marie s’est alors impliqué dans le mouvement altermondialiste ; c’est l’époque, par exemple, de la bataille pour la taxe Tobin. En 2002, il rejoint les chevènementistes et s’engage dans l’association Génération République. En 2005, il bataille pour le non au traité constitutionnel. « C’était le non de gauche, celui de Fabius et Montebourg », explique-t-il. Il a ensuite voté pour Royal en 2007, puis Bayrou en 2012. « J’ai toujours eu le sentiment d’une rente historique, utilisée par le PS comme par les gaullistes, par fidélité à ce qu’ils avaient fait, et qui les rendait incontournables. » Alors quand il a vu la « démarche » de Macron de « partir de la base », il est allé voir. Il aime l’ambiance des comités et est tout à fait d’accord avec le constat de Macron d’une « société bloquée ».
Par Charlotte Rotman
Ils ont tracté pour Macron, ils visent l’Assemblée : En marche a ses candidats mais des circonscriptions restent à pourvoir.
Injures, portes claquées : depuis le premier tour, la « bienveillance » des militants d’En marche, prônée par Macron, prend cher.
Jeudi soir, les militants macronistes se sont réunis pour voir leur champion défendre ses mesures, tout juste dévoilées, au JT.
Maria Paz, Pierre-Marie, Bouchra… Ces adhérents d’En marche se disent « super contents » du « ralliement » du centriste.
Fiches, comités, synthèses, experts… « Les Jours » ont suivi un mois dans la vie de propositions de militants parisiens.