Après la fin des combats, la répression se poursuit, charriant cadavres communards, condamnations expéditives et délations par milliers.
Après la fin des combats, la répression se poursuit, charriant cadavres communards, condamnations expéditives et délations par milliers.
Urgent. Les Versaillais sont entrés dans Paris, nous apprend le général fédéré Dombrowski, et ils fusillent les Parisiens.
Le 16 mai 1871, on détruit la colonne Vendôme surmontée de son Napoléon. Du baume au cœur de la Commune mais Versailles s’approche…
Alors que grondent les canons versaillais, un vote transfère les pouvoirs à quelques-uns. « Mesure énergique » ou « royauté déguisée » ?
Des surprises et des bougies, des lecteurs et un grand merci… Voici « Les dessous des “Jours” », épisode 21.
L’interdiction du travail de nuit dans les boulangeries a fait débat mais la Commune s’est réunie dans le cortège des francs-maçons.
Face à l’armée versaillaise, des soldats fédérés flanchent. Mais pendant les combats, la Commune monte au front des réformes.
On kermesse sous le drapeau rouge, on invente la gymnastique moderne, mais la canonnade de Versailles redouble. La Commune se durcit.
Bombardés par l’armée de Thiers, les insurgés de la Commune lancent une contre-offensive le 3 avril 1871. Un échec sanglant.
À peine installée, la Commune se met à l’ouvrage dans l’effervescence, alors que Versailles prépare déjà la riposte.
Le dimanche 26 mars, les Parisiens élisent 90 conseillers municipaux. La majorité est révolutionnaire.
Thiers envoie récupérer les canons des Parisiens, la troupe pactise avec la Garde nationale, le gouvernement prend la fuite.
Le brutal D’Aurelle de Paladines est nommé commandant de la Garde nationale, les insurgés du 31 octobre 1870 sont jugés, Paris rougit…
L’armistice est signé, l’armée allemande a défilé sur les Champs-Élysées, puis est partie pour de bon le 3 mars 1871.
Une série en direct d’il y a 150 ans, Sarkozy au tribunal, nos titres lamentables… « Les dessous des “Jours” », épisode 19.
Le siège de la capitale est fini, la Garde nationale jure d’empêcher les Prussiens d’y entrer, Thiers signe les préliminaires de paix…