Rétro. Seize journalistes reviennent sur une de leurs séries publiées cette année sur « Les Jours ».
Rétro. Seize journalistes reviennent sur une de leurs séries publiées cette année sur « Les Jours ».
Plateformes et créateurs de contenu ont bien compris comment fidéliser les jeunes et leur soutirer de l’argent. Exemple avec les « matchs » TikTok…
Le cas Berdah (2/2). Le rappeur a ciblé la « papesse des influenceurs » et laissé ses « pirates » se déchaîner. La lutte contre les arnaques a bon dos.
Le cas Berdah (1/2). La téléréalité, l’argent, les erreurs, le mépris… En France, la patronne de l’agence Shauna Events fait figure de pionnière.
Leurs vies surexposées et leurs millions d’abonnés remplissent les poches de leurs parents : une loi veut protéger les enfants influenceurs.
La relation entre les créateurs de contenu et leur communauté est un équilibre fragile, chronophage et qui peut vite devenir toxique.
Les influenceurs ont beau être leurs propres chefs, ils ont des comptes à rendre à d’autres : marques, agents, abonnés et algorithmes.
Faire de son hobby sur les réseaux un travail rémunéré, c’est le rêve de beaucoup. Mais parfois, les marques tordent le bras des passionnés.
Des investigations qui prennent du temps, des agents des fraudes en sous-effectif : la loi ne va pas être simple à appliquer.
Déjà cantonnées aux pubs de seconde zone, ces stars des réseaux ont été totalement écartées de la fabrique de la loi. Une logique classiste.
De l’eau bouillante, une réforme qui sent le roussi et un gourou du cru peut-être cuit : c’est l’épisode 42 des « Dessous des “Jours” ».
Pub, alcool, filtres, chirurgie esthétique : le texte voté à l’Assemblée nationale veut encadrer les dérives des réseaux sociaux.