« Débat verrouillé », « postures politiciennes », « greenwashing »… Alors que le texte part au Sénat, la députée écolo a le blues offensif.
Son rôle dans la série.
C’est sa loi. L’ancienne EELV, 45 ans, passée LREM en 2017, est devenue ministre de la Transition écologique en juillet 2020, pile à l’heure pour porter le projet de loi dit « climat et résilience » issu des travaux de la Convention citoyenne pour le climat. Elle ménage la chèvre et le chou entre sa majorité et l’ambition de la loi sur laquelle elle clame ne rien vouloir céder.
Par Cécile Cazenave
« Débat verrouillé », « postures politiciennes », « greenwashing »… Alors que le texte part au Sénat, la députée écolo a le blues offensif.
L’examen du texte s’est clos ce week-end à l’Assemblée. Au menu des derniers débats, repas végétariens et patates chaudes.
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La Macronie a glissé un amendement diabolique sur la rénovation énergétique des logements dans le texte. « Climaticide », disent les ONG.
Pour alléger le bilan carbone du secteur aérien, le gouvernement est prêt à faire des efforts… du moment qu’ils sont petits.
Rien, dans le texte débattu en ce moment à Assemblée, n’a trait à la responsabilité climatique des premiers pollueurs : les multinationales.
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