L’organisme public sera financé via une contribution obligatoire de tous les acteurs du secteur. Les plateformes enragent, Spotify et Deezer en tête.
Son rôle dans la série.
Créé en 2005 par la fusion de fédérations d’acteurs des musiques amplifiées et du jazz, le Syndicat des musiques actuelles (SMA) est le représentant des petites structures. Ses quelque 450 membres se répartissent entre salles de concerts (26 %), festivals (23 %), producteurs de spectacles (25 %), maisons de disques ou radios. C’est l’acteur principal du monde indépendant et associatif, qui fait tourner la culture sur le terrain partout en France et défend une vision sociale qui n’est pas que mercantile face aux plus gros acteurs du secteur. Le SMA siège à ce titre dans les différentes commissions du Centre national de la musique et prend part aux discussions engagées par le ministère de la Culture.
Son rôle dans la série.
Créé en 2005 par la fusion de fédérations d’acteurs des musiques amplifiées et du jazz, le Syndicat des musiques actuelles (SMA) est le représentant des petites structures. Ses quelque 450 membres se répartissent entre salles de concerts (26 %), festivals (23 %), producteurs de spectacles (25 %), maisons de disques ou radios. C’est l’acteur principal du monde indépendant et associatif, qui fait tourner la culture sur le terrain partout en France et défend une vision sociale qui n’est pas que mercantile face aux plus gros acteurs du secteur. Le SMA siège à ce titre dans les différentes commissions du Centre national de la musique et prend part aux discussions engagées par le ministère de la Culture.
L’organisme public sera financé via une contribution obligatoire de tous les acteurs du secteur. Les plateformes enragent, Spotify et Deezer en tête.
Malgré les annonces présidentielles, la musique live ne reprendra sans doute pas dès le 19 mai. Mais le secteur respire un peu.
Les règles sanitaires sont techniquement et financièrement intenables pour beaucoup d’organisateurs. Annulations en cascade dans 3, 2, 1…
Jauge assise, 5 000 personnes max : les contraintes sanitaires annoncées par le gouvernement sont une douche froide pour les organisateurs.