Confinés, les Français ont mangé des produits du coin… mais ça n’a pas duré. Aujourd’hui, producteurs et consommateurs ont le blues.
Confinés, les Français ont mangé des produits du coin… mais ça n’a pas duré. Aujourd’hui, producteurs et consommateurs ont le blues.
Trop bon et trop sain, l’avocat ? Ou bien trop hype et trop gourmand en eau ? Commis d’office, « Les Jours » font son procès.
Les betteraviers peuvent réutiliser les néonicotinoïdes tueurs de butineuses, interdits en 2018. Le résultat d’un lobbying raffiné.
Résistante, peu chère… mais cultivée loin et avec des produits toxiques pour la santé et la planète : la banane craint pour sa peau.
Manger de la viande locale, d’accord. Encore faut-il que l’animal ait été tué sur place. Une pratique qui se développe en France.
À coup de com qui fleure bon le terroir, marques et grandes surfaces surjouent la carte du circuit court pour vendre leurs produits.
Symbole de la gastronomie française, nos cucurbitacées vinaigrées ne sont plus du tout locales… Mais des néocornichonneurs résistent.
Pêché en Europe, épluché au Maroc puis renvoyé sur les étals européens : le trajet du crustacé gris est absurde. Bioman le décortique.
Pour soutenir les agriculteurs dans la crise, ils promettaient patriotisme alimentaire et approvisionnement de proximité… Survendu.
Artisanale, locale, IPA… La mode est à la petite bière du coin. Mais comment la produire quand l’industrie monopolise le houblon ?
Qu’il soit d’élevage ou sauvage, le poisson que l’on pose sur nos sushis pollue, est pollué, et n’est pas, mais alors pas du tout local.