À Saint-Nazaire, une association épaule les Jaamour. Mais des bénévoles sont là aussi. De bonne volonté, mais envahissants.
À Saint-Nazaire, une association épaule les Jaamour. Mais des bénévoles sont là aussi. De bonne volonté, mais envahissants.
À Saint-Nazaire, le père et la mère de cette famille syrienne prennent des cours de français. Une nécessité.
Houmam a demandé l’asile en Allemagne ; sa famille, en France. Depuis, ils voient leurs retrouvailles repoussées.
Pour les enfants de cette famille syrienne qui vient d’arriver à Saint-Nazaire, la rentrée des classes est délicate.
En attendant d’obtenir l’asile, la famille syrienne prend doucement ses marques à Saint-Nazaire.
Mardi, les Jaamour sont arrivés à Saint-Nazaire. Pour cette famille qui a fui la Syrie, c’est la fin du périple.
Les Jaamour découvrent enfin le nom de la ville de l’Hexagone où ils vont être relocalisés. Départ ce mardi.
Le gouvernement grec a organisé une université d’été pour une vingtaine d’étudiants réfugiés dont l’aîné des Jaamour.
La famille était très aisée en Syrie ; réfugiée en Grèce depuis six mois, elle doit désormais compter le moindre sou.