Épuisée et déçue après les mondiaux de Londres, Carolle Zahi a mis fin à sa saison. Mais elle pense déjà à Tokyo 2020.
Tout juste diplômé du Centre universitaire d’enseignement du journalisme, je rejoins l’équipe des Jours en juin 2017. Éditeur, je suis aussi l’auteur de l’obsession De chair et de 100. Le sport est une vraie passion depuis que ma mère m’a allaité devant les JO de Barcelone. Un peu après ça, je me suis dirigé vers des études de droit, de science politique puis de journalisme à Rennes, Séville et Strasbourg. Je suis aussi passé par le service des sports de Ouest-France où j’ai pu assouvir un rêve d’enfant en couvrant l’actualité du Stade rennais tout en mangeant des galettes saucisses. Ah et j’aime également lire Albert Camus et boire du vin nature.
Épuisée et déçue après les mondiaux de Londres, Carolle Zahi a mis fin à sa saison. Mais elle pense déjà à Tokyo 2020.
Carolle Zahi, éliminée au 100 m, courrait ce samedi le 4 x 100 m aux mondiaux de Londres. L’occasion de se refaire en équipe.
Samedi, aux mondiaux de Londres, la sprinteuse a loupé son 100 m et la qualification en demi-finale. L’échec est dur à avaler.
La sprinteuse s’élance ce samedi sur la piste des championnats du monde à Londres. Elle raconte aux « Jours » la course idéale.
Derrière la montée en puissance de la sprinteuse Carolle Zahi, il y a Alex Ménal, coach adepte d’un management à l’affectif.
À Marseille, la sprinteuse suivie par « Les Jours » décroche le titre et bat son record, calme et tranquille.
Pour Carolle Zahi comme pour beaucoup d’athlètes, vivre du sport n’est pas évident. Ils sont souvent dépendants des sponsors.
Carolle Zahi s’entraîne dur, pour que ça paye un jour. Peut-être ce samedi à Paris, où elle affronte les stars du sprint.
En août, l’athlète française disputera le 100 m aux mondiaux de Londres. « Les Jours » la suivent jusqu’à la ligne d’arrivée.