
À la Cour nationale du droit d’asile, les recours ont explosé, les délais ont été raccourcis… et les agents serrent les dents.
À la Cour nationale du droit d’asile, les recours ont explosé, les délais ont été raccourcis… et les agents serrent les dents.
Si l’Ofpra les a déboutés, les migrants peuvent encore faire appel à la Cour nationale du droit d’asile. Une juridiction surchargée.
Face à la violence des récits des migrants et à la dureté de l’Office, les agents ont le choix entre s’endurcir… ou démissionner.
Traiter les demandes d’asile à l’Ofpra, une drôle d’idée ? Des agents dévoilent leurs motivations, la formation… et ses carences.
« Les Jours » ont eu accès à la feuille de route ultrasecrète des entretiens avec les demandeurs d’asile russes.
Serge travaille à l’Ofpra, qui reçoit les demandes d’asile des migrants. Et décide, ou pas, de leur accorder une protection.
Autour du Demie, qui évalue la minorité des migrants reçus, la violence est partout, larvée ou explicite. Parfois jusqu’au drame.
Aminata et Marion racontent le quotidien au Dispositif d’évaluation des mineurs étrangers, les parcours des jeunes et les leurs.
Le Demie est chargé d’évaluer si les migrants reçus sont bien mineurs. Une responsabilité énorme et un système critiqué par les assos.
Après deux heures d’entretien avec Ousmane, qui assure être mineur, Marion s’apprête à dire au jeune Malien si elle le croit.