Dans « Le vrai du bio », on se demandait comment (et pourquoi) manger bien, bon et bio : votre dévoué Bioman a par exemple remonté la piste du chou kale et enquêté sur le business chamanique des salons bios. Depuis, au nom des circuits courts, c’est le local qui a envahi les supermarchés et de plus en plus d’entre nous se font livrer à la maison des plats réputés « faits maison ». Du cargo au frigo, le nouveau voyage de Bioman s’annonce mouvementé.
Par
Thibaut Schepman