Chaque premier mercredi du mois à midi pile, Les Jours sonnent la charge : voici « Les dessous des “Jours” », pour tout savoir de ce qui s’est passé à la rédaction depuis un mois.
C’est cadeau. Toute aussi rituelle que « Les dessous des “Jours” », la carte-cadeau des Jours est désormais disponible. Faites-vous les ambassadeurs des Jours en offrant un abonnement à votre site préféré : trois mois (25 euros), six mois (49 euros), un an (90 euros), c’est vous qui choisissez à quel point vous avez envie de faire plaisir à vos proches… Et c’est vous aussi qui choisissez soit d’adresser la carte-cadeau en version numérique, soit en version cartonnée à offrir ou à envoyer par la Poste. Des heures et des heures de journalisme en perspective
C’est donné. Vous le savez, mais on ne le répétera jamais assez : Les Jours produisent un journalisme approfondi, sur des sujets importants pour la démocratie, qui demandent beaucoup de temps d’enquête et ne sont pas racoleurs. Les Jours sont un média indépendant et sans pub, c’est-à-dire détenu en majorité par ses journalistes et abonné·e·s actionnaires. Notre carburant, ce sont les abonnements bien sûr, mais aussi les dons. Vous avez jusqu’au 31 décembre minuit pour faire un don aux Jours et bénéficier ainsi d’une réduction d’impôt pour 2022 de 66 % sur le montant donné.
C’est nouveau. Peut-être l’avez-vous vue passer sur Les Jours avec ses très gros chiffres : nous avons inauguré ce mois-ci une nouvelle forme de page, la page chiffre. Parce que plutôt qu’une photo prétexte, un chiffre en gros et en gras est plus utile pour mettre en évidence ce qu’on veut analyser ou révéler. Au terme d’un intense remuage de cerveaux jouristes, cette nouvelle forme d’illustration a été mise au point par Cécilia Haentjens, développeuse aux Jours mais aussi graphiste, et déclinée par Simon Lambert, notre directeur photo (et bidouilleur d’images devant l’éternel). Pour l’heure, nous avons fait appel à deux chiffres : 19 et 110. Vous allez voir, c’est très clair…

Si vous avez manqué le début (1)… Cette page chiffre, nous l’avons étrennée avec une nouvelle série, Fais pas ci, fais pas ça, où Cécile Cazenave expertise les injonctions gouvernementales aux petits gestes. Alors, les 19°C max de température chez soi, c’est du flan ou ça aide vraiment la planète ? Et la réduction de la vitesse à 110 km/h sur autoroute, est-ce la bonne solution ? D’autres chiffres arrivent bientôt : 22 (heures), 5 (tonnes) ou encore 90 (euros pour une carte-cadeau d’abonnement d’un an aux Jours, mais on vous l’a déjà dit).
Si vous avez manqué le début (2)… C’est un secteur méconnu qui pèse pourtant terriblement lourd, c’est le sang de la veine de la mondialisation : le commerce maritime. Et c’est à bord des porte-containers de l’armateur français CMA CGM qu’Aurore Gorius vous propose d’embarquer avec sa nouvelle série Superprofits en haute mer. Oui, superprofits car CMA CGM s’est considérablement enrichi pendant la pandémie, faisant entrer son propriétaire, la famille Saadé, dans le top 5 des fortunes de France. Déjà deux épisodes à lire et la croisière ne fait que commencer.
Impact. Quelques jours après la publication de nos nouvelles informations sur le scandale du Levothyrox, le laboratoire Merck a été mis en examen pour « tromperie aggravée »

Les titres auxquels vous n’avez pas échappé. C’est notre rendez-vous autosatisfaction : mais comment fait-on pour trouver de si bons titres ? Un peu de Romain Gary pour les élections de mi-mandat aux États-Unis avec « Biden, le vide devant soi » ; une grosse touche d’Hergé pour la politique fiscale de Total avec « Tintin sur les impôts au pays de l’or noir » et, parce que tous les goûts sont dans la nature, du Juliette Armanet pour le dernier Face A, face B sur les 40 ans de l’album Thriller avec « Michael Jackson et Donna Summer, les derniers jours du disco ».
Les titres auxquels vous avez échappé. C’est notre rendez-vous contrition : mais d’où nous viennent ces idées débiles ? L’épisode 2 de La Coupe est pleine, la série de Thierry Lévêque sur le mondial qatari de toutes les aberrations, a été un feu d’artifice de bêtises : « Qatar n’a que l’amour », « Comme les Doha de la main », « Doha l’exploratrice », « Juste un Doha », « Doha dans le nez ». Finalement, nous sommes revenus à la raison et avons titré : « Qatar, le monde au Doha et à l’œil ».