Médecin, vigneron, prof… Depuis la présidentielle, les personnages des séries des « Jours » sont devenus « Les électeurs ».
Son rôle dans la série.
À Nuit debout, il s’occupait de l’infirmerie installée pendant quelques semaines place de la République. Dans la vie, il est médecin généraliste dans deux hôpitaux (l’un à Paris, l’autre en proche banlieue) : un service d’addictologie d’un côté, des patients atteints du VIH de l’autre. Martin vote irrégulièrement, jusqu’ici pour de petits partis de gauche au premier tour et pour le candidat socialiste au second. C’est terminé.
À retrouver dans l’épisode 18.
Son rôle dans la série.
À Nuit debout, il s’occupait de l’infirmerie installée pendant quelques semaines place de la République. Dans la vie, il a 30 ans, est médecin généraliste dans deux hôpitaux (l’un à Paris, l’autre en proche banlieue) : un service d’addictologie d’un côté, des patients atteints du VIH de l’autre. Martin vote irrégulièrement, jusqu’ici pour de petits partis de gauche au premier tour et pour le candidat socialiste au deuxième. C’est terminé.
Son rôle dans la série.
Martin, médecin généraliste, travaille dans deux hôpitaux (l’un à Paris, l’autre en proche banlieue). Abonné au journal Fakir et membre d’Acrimed, il rejoint la Nuit Debout dès le 31 mars et revient « deux ou trois heures par jour » depuis, à la sortie du boulot. Depuis son poste d’observation préféré, l’infirmerie installée sur la place, il espère « voir ce qui va se passer ».
Par Camille Polloni
Médecin, vigneron, prof… Depuis la présidentielle, les personnages des séries des « Jours » sont devenus « Les électeurs ».
Pour ces électeurs de Mélenchon croisés dans les séries des « Jours », voter Macron au second tour n’est pas une évidence.
Depuis plusieurs mois, les personnages des « Jours » nous racontent leurs hésitations d’électeurs. Aujourd’hui, ils ont voté.
Prof, vigneron, chômeuse… Pendant la campagne, les personnages des séries des « Jours » deviennent « Les électeurs ».
Le texte est presque adopté. Les opposants rencontrés au fil de « L’étincelle » gardent un œil sur l’après. Sans illusions.
L’étincelle s’éteint-elle ou prend-elle des chemins de traverse ? Le recours au 49-3 pourrait vite donner la réponse.
On voulait suivre l’intégralité d’une AG de la Nuit debout parisienne. Une manif sauvage pour soutenir les migrants en a décidé autrement.