Si les théories de l’effondrement font recette, ses critiques aussi, qu’elles soient historiques, philosophiques ou politiques.
Son rôle dans la série.
Avec son compère Raphaël Stevens, Pablo Servigne, ingénieur agronome né en 1978, a écrit Comment tout peut s’effondrer (Le Seuil, 2015). Dans cet essai, il crée la « collapsologie », « science » interdisciplinaire de l’effondrement de notre « civilisation thermo-industrielle ». Un carton. Pédagogue et charismatique, le docteur en biologie – qui a abandonné l’académie – est devenu conférencier à succès et a creusé son sillon collapsologue dans L’Entraide, l’autre loi de la jungle (Les Liens qui libèrent, 2017). Dans Une autre fin du monde est possible (Le Seuil, 2018), celui qui se définit comme « chercheur in-Terre-dépendant » (calembour non validé par Les Jours) et anarchiste s’intéresse au chemin spirituel à emprunter pour les « collapsonautes », loin du militantisme, ce qui agace certains écologistes radicaux.
Par François Meurisse
Si les théories de l’effondrement font recette, ses critiques aussi, qu’elles soient historiques, philosophiques ou politiques.
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