Le sixième rapport du Giec est définitif : le seuil stratégique d’1,5 °C en plus sera atteint dès 2030. Impossible de revenir en arrière.
Son rôle dans la série.
Vous n’avez pas les bases ? Alors reprenons. Les gaz à effet de serre, naturellement présents dans l’atmosphère, se concentrent dans la partie supérieure de celle-ci. Grâce à quoi, la température de la Terre n’est pas gelée… mais tempérée. Problème, depuis la Révolution industrielle, les émissions de ces gaz – dioxyde de carbone (CO2), méthane (CH4)… – ont explosé et renforcé l’effet de serre. Résultat, le climat est déréglé, la glace fond et tout le monde cuit. L’accord de Paris, signé en clôture de la COP21 fin 2015, prévoit de « poursuivre les efforts pour limiter la hausse des températures à 1,5 °C » en 2100 par rapport aux niveaux préindustriels. Mais selon le rapport de 2018 du Giec, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, ce dernier scénario, pourtant très optimiste (on table plutôt sur une hausse de 3 degrés), serait déjà dramatique. Une dernière mauvaise nouvelle pour la route ? Après une stagnation entre 2014 et 2016, les émissions mondiales sont reparties à la hausse en 2017 et en 2018.
Par Cécile Cazenave
Son rôle dans la série.
Vous n’avez pas les bases ? Alors reprenons. Les gaz à effet de serre, naturellement présents dans l’atmosphère, se concentrent dans la partie supérieure de celle-ci. Grâce à quoi, la température de la Terre n’est pas gelée… mais tempérée. Problème, depuis la Révolution industrielle, les émissions de ces gaz – dioxyde de carbone (CO2), méthane (CH4)… – ont explosé et renforcé l’effet de serre. Résultat, le climat est déréglé, la glace fond et tout le monde cuit. L’accord de Paris, signé en clôture de la COP21 fin 2015, prévoit de « poursuivre les efforts pour limiter la hausse des températures à 1,5 °C » en 2100 par rapport aux niveaux préindustriels. Mais selon le rapport de 2018 du Giec, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, ce dernier scénario, pourtant très optimiste (on table plutôt sur une hausse de 3 degrés), serait déjà dramatique. Une dernière mauvaise nouvelle pour la route ? Après une stagnation entre 2014 et 2016, les émissions mondiales sont reparties à la hausse en 2017 et en 2018.
Par Cécile Cazenave
Son rôle dans la série.
Normal que cette plaie d’origine anthropique soit un glaive au-dessus de la tête des abeilles. La ruche est un écosystème sensible : la moindre variation de température ou d’humidité exige des efforts considérables de la part des ouvrières qui doivent ventiler, chauffer, apporter de l’eau supplémentaire pour maintenir le ponte de la reine, assurer la croissance des larves… Le butinage est exigeant en matière de météo, de température, de vent, d’hygrométrie, de luminosité… Enfin, il faut qu’il y ait quelque chose à butiner. Les bouleversements auxquels est déjà soumise la flore terrestre, comme les sécheresses à répétition, ont un impact direct sur la survie des abeilles.
Par Cécile Cazenave
Son rôle dans la série.
Vous n’avez pas les bases ? Alors reprenons. Les gaz à effet de serre, naturellement présents dans l’atmosphère, se concentrent dans la partie supérieure de celle-ci. Grâce à quoi, la température de la Terre n’est pas gelée… mais tempérée. Problème, depuis la Révolution industrielle, les émissions de ces gaz – dioxyde de carbone (CO2), méthane (CH4)… – ont explosé et renforcé l’effet de serre. Résultat, le climat est déréglé, la glace fond et tout le monde cuit. L’accord de Paris, signé en clôture de la COP21 fin 2015, prévoit de « poursuivre les efforts pour limiter la hausse des températures à 1,5 °C » en 2100 par rapport aux niveaux préindustriels. Mais selon le rapport de 2018 du Giec, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, ce dernier scénario, pourtant très optimiste (on table plutôt sur une hausse de 3 degrés), serait déjà dramatique. Une dernière mauvaise nouvelle pour la route ? Après une stagnation entre 2014 et 2016, les émissions mondiales sont reparties à la hausse en 2017 et en 2018.
Par François Meurisse
Le sixième rapport du Giec est définitif : le seuil stratégique d’1,5 °C en plus sera atteint dès 2030. Impossible de revenir en arrière.
Raffinerie Total, papeterie… Syndicalistes et écolos inventent ensemble un futur où la transition crée des emplois. Pas le contraire.
À partir de 2007, les élus ont déroulé le tapis rouge au géant du e-commerce. Manifestement, ils ne s’en souviennent plus. Enquête.
Pour les habitants qui grelottent comme pour la planète qui bout, rénover les pavillons est une urgence. C’est comment qu’on accélère ?
Sur les cendres d’un conflit autour d’un menu végétarien éclosent des combats populaires, antiracistes, féministes… Ceux de demain ?
Des Andes jusqu’aux Alpes où Macron fait sa com, les glaciers ne sont plus éternels : ils comptent leurs jours entre deux effondrements.
Réchauffement, précarité… La climatologue Valérie Masson-Delmotte alerte pour que le jour d’après ne soit pas un jour d’avant en pire.
Corail, ô désespoir ! Débrandade pour les morues… Le réchauffement des océans est une tuerie, du plancton aux baleines… et aux hommes.
Tout va trop vite au pôle Nord : la disparition de la banquise, le désarroi des chercheurs… et l’appétit du business.
Les incendies qui ravagent le pays en sont la preuve : l’effondrement écologique est à l’œuvre. Bienvenue en enfer.
Des abeilles qui crient famine, des ruches qui fondent, des récoltes catastrophiques… Est-ce une saison en enfer ou la nouvelle norme ?
Si les théories de l’effondrement font recette, ses critiques aussi, qu’elles soient historiques, philosophiques ou politiques.
Ajout de sirops, mélanges douteux, traçabilité incertaine : les circuits français du miel, opaques, sont butinés par la fraude.
Les ruches envahissent les toits et certains apiculteurs en font leur miel. Mais le buzz en ville est-il une si bonne idée ?
Le rapport sur la biodiversité sorti lundi avance des chiffres alarmants et pointe les responsables (nous), dans l’apathie politique.
Fin du monde. Chaque vendredi midi, « Les Jours » parlent effondrement et culture. Aujourd’hui, une interview avec une grande vedette.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, une vidéo islandaise.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, la Louisiane rétrécit.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, un gros paquet d’argent sale.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, un document explosif.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, un rapport de l’ONU controversé.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, les dangers de la soute.
Fin du monde. Chaque vendredi midi, « Les Jours » vous parlent effondrement et culture. Aujourd’hui, une BD d’Émile Bravo.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, du pétrole dans les champs.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, une enquête en vol stationnaire.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, une étude inquiétante… et insuffisante.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, des antilopes un peu trop seules.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, un rapport qui fait tousser.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, des eaux contaminées.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, un précipité de catastrophe.
Fin du monde. Chaque vendredi midi, « Les Jours » vous parlent effondrement et culture. Aujourd’hui, un album rock australien.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, un gaz qui fait boom.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, la pandémie en Afrique.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, un rongeur australien s’éteint.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, une invasion de scorpions.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, une étude explosive.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, des épaulards pris au piège.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, les Alpes dégoulinent.
Fin du monde. Chaque vendredi midi, « Les Jours » vous parlent effondrement et culture. Aujourd’hui, un film de Jeff Nichols.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, un pays à sec.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, une faillite électrique.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, l’apocalypse à six pattes.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, gros temps sur la grande bleue.
Fin du monde. Chaque vendredi midi, « Les Jours » vous parlent effondrement et culture. Aujourd’hui, les BD d’Alessandro Pignocchi.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, un cumulonimbus furieux.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, l’aveuglement face à l’or noir finissant.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, un cruel effet domino.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, une cavité en Antarctique.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, un poisson nous quitte.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, le « vortex polaire » à Chicago.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, une catastrophe brésilienne.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, des poubelles sanglantes.
Pour faire face à la fin du monde, l’ex-Insoumise Corinne Morel Darleux se nourrit de fiction et défend une écologie radicale.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, un séisme dans la chaîne alimentaire.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, la retraite climatique des G.I’s.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, menace dans les tasses.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, les mines illégales en Amazonie.
Fin du monde. Chaque vendredi midi, « Les Jours » vous parlent effondrement et culture. Aujourd’hui, un film de Sébastien Marnier.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, une hécatombe à Porto Rico.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, les pôles nous inondent.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, le black-out auquel vous avez échappé.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, le pétrole au Texas.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, une invasion barbare.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, le CO2 et Hiroshima.