Le proprio débarque le président Jacques-Henri Eyraud, détesté des supporters. Voilà Pablo Longoria livré au « peuple marseillais ».
Son rôle dans la série.
Un type carré, sérieux, qui a la hargne, c’est ce qu’on aime à Marseille. Champion de France avec Lille en 2009 et ancien entraîneur de l’AS Rome, Rudi Garcia, 53 ans, représente une bonne pioche pour le club. Mais réussir à Marseille, c’est complexe. Il l’a saisi à l’automne 2017 quand le Vélodrome était prêt à le passer au goudron et aux plumes après deux défaites humiliantes à Monaco et contre Rennes. Depuis, il a nettement redressé la barre mais il a compris la musique : à Marseille plus qu’ailleurs, le foot est une cocotte-minute où le coach sert de soupape quand la pression menace.
Et de fait, en mai 2019, terminant une saison à la cinquième place de Ligue 1, l’OM fait baisser la pression en virant Rudi Garcia qui part chez l’ennemi juré, Lyon.
Par Michel Henry
Son rôle dans la série.
Un type carré, sérieux, qui a la hargne, c’est ce qu’on aime à Marseille. Champion de France avec Lille en 2009 et ancien entraîneur de l’AS Rome, Rudi Garcia, 53 ans, représente une bonne pioche pour le club. Mais réussir à Marseille, c’est complexe. Il l’a saisi à l’automne 2017 quand le Vélodrome était prêt à le passer au goudron et aux plumes après deux défaites humiliantes à Monaco et contre Rennes. Depuis, il a nettement redressé la barre mais il a compris la musique : à Marseille plus qu’ailleurs, le foot est une cocotte-minute où le coach sert de soupape quand la pression menace.
Et de fait, en mai 2019, terminant une saison à la cinquième place de Ligue 1, l’OM fait baisser la pression en virant Rudi Garcia qui part chez l’ennemi juré, Lyon.
Par Michel Henry
Le proprio débarque le président Jacques-Henri Eyraud, détesté des supporters. Voilà Pablo Longoria livré au « peuple marseillais ».
Deux ans après le rachat du club, le proprio doit s’y faire : l’OM reste un nain. Pour grandir, il faudra de l’argent… et regagner.
Employé du diocèse, le « curé de l’Ohème » réconcilie sur le web fidèles et fans. Dimanche, contre Paris, Dieu ne sera pas de trop.
Le club est englué dans un début de saison mi-figue mi-raisin. Heureusement, « Les Jours » ont la solution : Jean-Claude la win.
Le recrutement de l’Italien est tombé à l’eau. La fin du mercato approche, et Marseille n’a toujours pas son grand attaquant.
Pour cette nouvelle saison, l’OM a pris des mesures radicales contre les fumigènes en collant la pression aux clubs de supporters.
La finale européenne perdue ? La quatrième place en France ? Pas grave. Le président Eyraud la joue calme olympien. Mais bien sûr.
Après sa défaite en finale de la Ligue Europa face à l’Atlético Madrid, l’OM se pose des questions. « Les Jours » y répondent.
Une page minimum, treize pour la qualification en finale de la Ligue Europa. Entre journal et club, c’est un mariage de (dé)raison.
Bon enfant et voyou, le « peuple de l’OM » a tout donné jeudi, avant même la victoire en demi-finale aller de coupe d’Europe.
Droits télé, loyer du Vélodrome, jackpot de la Ligue des champions… Le club compte ses sous et sur une bonne fin de saison.
L’OM qualifié en demi-finale de coupe d’Europe, Marseille se souvient des jours anciens, se met à rêver… et tacle le PSG. Bonheur.
Après deux peignées face au PSG, visite des derniers salons où l’on cause de l’OM : ceux des coiffeurs et des tatoueurs.