Après Bolloré, c’est son fidèle employé qui était auditionné par la commission d’enquête sur la TNT. 2 h 30 d’un trip égoto-complotiste. Replay.
Son rôle dans la série.
Il a le cheveu long, souvent l’air de sortir d’une fiesta, des bracelets de couleur au poignet, il joue au tennis avec Cyril Hanouna (avec lequel il a monté la boîte de production qui a accouché de Touche pas à mon poste, l’émission-phare de la pensée de C8), il est né en 1980, il est marié avec la nièce de Martin Bouygues, l’ennemi juré de son père, il habite villa Montmorency, une espèce de réserve à gens très riches du XVIe arrondissement de Paris. Il est président du géant de la pub Havas et se définit sur son compte Twitter (que nous vous conseillons ardemment pour suivre ses pérégrinations à travers le monde et ses saillies en anglais) ainsi : « Just a kid from Havas ». Le voilà désormais en sus président du conseil de surveillance de Vivendi à la place de son Vincent de père. Même s’il se dit « plutôt contre intellectuellement hériter d’une entreprise comme ça, mais quand c’est possible… ». Bref, pour Yannick Bolloré, ça farte.
Par Raphaël Garrigos et Isabelle Roberts
Après Bolloré, c’est son fidèle employé qui était auditionné par la commission d’enquête sur la TNT. 2 h 30 d’un trip égoto-complotiste. Replay.
C’était au tour du saint-patron de Canal+ de passer devant la commission d’enquête. Au menu : esquives et amnésie. Replay du live des « Jours ».
Éjecté en 2020, l’humoriste est en passe de revenir sur Canal+. Pas les trente journalistes qui ont été virés pour l’avoir soutenu…
Racheté par Vivendi, le groupe de presse goûte aux joies de l’effet Bolloré : départs massifs, « synergies » commerciales et (auto)censure.
Vincent Bolloré l’avait promis : ce jeudi 17 février, pour les 200 ans de son groupe, il devait prendre sa retraite. La bonne blague.
Il a menti comme un arracheur de dents à la commission d’enquête sur la concentration des médias. « Les Jours » débunkent ses mythos.
Info « Les Jours ». En plein plan social, il refourgue son vin sur l’intranet de Canal+ : 20 % de salariés en moins, 20 % de réduc !
Un animateur en roue libre, des pigistes maltraités, des tentatives de censure, toujours pas d’argent… Vous êtes bien sur CNews.
Condamné pour « procédure abusive » face à France 2, Bolloré perd une nouvelle bataille dans sa guérilla contre les journalistes.
Dans un message aux salariés, l’homme d’affaires se fait lyrique et larmoyant pour se défendre après sa mise en examen.
Soupçonné de corruption, il a été mis en examen et doit répondre des liens entre Havas et ses activités portuaires en Afrique.
Surprise : ce jeudi, Vincent Bolloré a cédé à son fils sa place à la tête de Vivendi. Mais que cela cache-t-il donc ?