L’institution peut prochainement le disqualifier pour la présidentielle… comme lui accorder l’immunité pour ses actes lors de l’insurrection du Capitole.
L’institution peut prochainement le disqualifier pour la présidentielle… comme lui accorder l’immunité pour ses actes lors de l’insurrection du Capitole.
Purge idéologique, militarisation à tout-va : le programme de l’ex-Président, favori des républicains à la présidentielle de 2024, est effarant.
Malgré une troisième inculpation, cette fois pour la présidentielle de 2020, l’ex-Président continue de survoler la primaire républicaine.
Poursuivi cette fois dans l’affaire des archives secrètes, l’ex-Président chante à nouveau l’air du complot. Et les républicains suivent…
Le polémiste licencié par Fox News est devenu la matrice idéologique d’un parti républicain en voie de radicalisation.
L’inculpation de l’ex-Président est une première dans l’histoire américaine mais son implication dans l’assaut du Capitole reste à juger.
Le républicain Kevin McCarthy a été élu après quinze tours de scrutin, mais c’est au prix de lourdes concessions à l’extrême droite.
La commission d’enquête a osé : l’ancien Président est convoqué pour s’expliquer sur son rôle dans l’insurrection du 6 janvier 2021.
Trumpiste jusqu’à la mort, prêt à justifier la violence et toujours plus près du suprémacisme blanc : voici le nouveau parti républicain.
Perquisitionné en Floride dans une enquête sur les archives de son mandat, l’ex-Président s’est une nouvelle fois posé en victime.
Depuis les révélations de la témoin-clé Cassidy Hutchinson, des émeutiers et des proches de l’ex-Président ont été auditionnés. Un tournant.
Contrairement au Watergate, le travail de la commission parlementaire ne suffira peut-être pas à sanctionner l’ex-Président.