Chaque semaine, « Les Jours » chroniquent des disques en miroir. Aujourd’hui, Tokyo invite l’afrobeat nigérian et des instruments jouets catalans.
Chaque semaine, « Les Jours » chroniquent des disques en miroir. Aujourd’hui, Tokyo invite l’afrobeat nigérian et des instruments jouets catalans.
Chaque semaine, « Les Jours » chroniquent des disques en miroir. Aujourd’hui, mélancolies japonaises des sixties et seventies.
Depuis deux ans, un retraité japonais arpente Nikko à la recherche de la Française, convaincu qu’elle est en vie.
Pour la famille de Tiphaine Véron, la police japonaise n’a pas assez creusé la piste criminelle. Notamment celle de l’hôtelier.
Pression diplomatique, piste de la téléphonie : la famille Véron remue ciel et terre pour pallier les manqués de la police japonaise.
Depuis les premières heures de la disparition de Tiphaine Véron, sa famille reproche aux enquêteurs de ne pas en faire assez.
De la gare à sa chambre d’hôtel, « Les Jours » ont retrouvé les dernières traces de Tiphaine Véron au Japon. Banales, ou presque.
Il y a deux ans, la Française était vue à Nikko, au Japon. Depuis, pas d’indices, pas de corps. Rien. « Les Jours » contre-enquêtent.
Qu’il soit d’élevage ou sauvage, le poisson que l’on pose sur nos sushis pollue, est pollué, et n’est pas, mais alors pas du tout local.