Entre sondages opaques et récupération politique, « Les Jours » mettent les pieds dans le plat préféré des Français.
Entre sondages opaques et récupération politique, « Les Jours » mettent les pieds dans le plat préféré des Français.
En 2002, son père avait profité de la démobilisation des électeurs ; elle les incite à voter et la joue profil bas. Dangereusement efficace ?
Infiltration en Zemmourie, plongée chez les conspis, outil de live rafraîchi… Voici « Les dessous des “Jours” », épisode 31.
À l’approche du premier tour, tous scrutent les intentions de vote, censées se stabiliser. Mais une seule chose est sûre : rien n’est sûr.
Chaque jour, ces études « glissantes » gavent les médias d’intentions de vote… avec les mêmes biais que les enquêtes traditionnelles.
Pendant la campagne, la dépendance aux enquêtes d’opinion s’accroît, malgré les limites des méthodes des instituts.
Malgré le procès des excès de l’Élysée, le pouvoir reste accro aux sondages et ne regarde toujours pas à la dépense.
Au nom de l’immunité présidentielle, l’ex-chef de l’État a refusé de répondre aux questions du tribunal. Qui les a tout de même posées.
Le procès des folles dépenses de sondages sous Nicolas Sarkozy illustre la dépendance des politiques à l’égard des instituts.
« Les Jours » mettent le nez dans la tambouille des études d’opinion, alors que s’ouvre le procès des dépenses pharaoniques sous Sarkozy.