Allyssia Davaine a échappé de peu à la mort en 2020. Jugé du 3 au 8 octobre, Johnny Verslype, son ex-conjoint, a été condamné à quinze ans de prison.
Allyssia Davaine a échappé de peu à la mort en 2020. Jugé du 3 au 8 octobre, Johnny Verslype, son ex-conjoint, a été condamné à quinze ans de prison.
En 2020, la jeune femme réchappait d’une tentative de meurtre par son ex-conjoint. Déterminée, elle s’est confiée aux « Jours » avant l’ouverture du procès.
En avril, Laureen a été entendue par l’ordre des médecins en présence de la gynécologue qu’elle accuse de l’avoir violée. Un calvaire.
Parcours de PMA, retour chez le gynécologue… Après des violences sexuelles, le rapport des victimes à la médecine de l’intime est bouleversé.
Après un viol, l’examen médico-légal peut être vécu comme un traumatisme de plus par les femmes. Les actes et les mots des médecins sont décisifs.
Des unités médico-judiciaires aux salles d’accouchement, « Les Jours » enquêtent sur la prise en charge gynécologique des victimes de viols.
En donnant un chiffre non consolidé pour 2023, Éric Dupond-Moretti provoque l’ire des associations. Et tait le travail de fond qui reste à accomplir.
En 2020, Allyssia Davaine a échappé par miracle à la mort. Elle raconte aux « Jours » la vie de survivante d’une tentative de féminicide.
Une centaine d’enfants par an perdent leur mère après un féminicide. Pourtant, le protocole de suivi psychosocial n’est toujours pas généralisé.
Après dix mois d’audience, le verdict : perpétuité incompressible pour Abdeslam et des condamnations plus mesurées pour les autres accusés.
Questions d’argent, divergences d’analyse, flou autour de leur rôle dans un tel procès… Les avocats des victimes sont appelés à la barre.
Le survivant du 13 Novembre et président de Life for Paris prône la résilience sans haine et veut faire rentrer les enfants de jihadistes.
Pour surmonter le traumatisme, beaucoup de rescapés du 13 Novembre ont eu besoin d’aide, de la psychiatrie traditionnelle à l’EMDR.
Six des otages retenus par Foued Mohamed-Aggad et Ismaël Omar Mostefaï ont livré un récit brutal, émaillé de moments irréels.
Les rescapés et proches de victimes du 13 Novembre continuent de se reconstruire peu à peu. À la barre, ils racontent leur vie d’après.
Cette étude transdisciplinaire scrute les souvenirs de survivants, de proches, d’habitants des quartiers visés… Mais aussi leur psychisme.
À partir de ce mardi et pendant cinq semaines, plus de 300 victimes vont prendre la parole au tribunal. Et raconter leur vendredi 13.
Pour faciliter les plaintes des victimes de violences, une permanence policière vient d’être créée à l’Usap, l’unité qui les accueille.
À l’Unité d’accompagnement du psychotraumatisme, « Les Jours » ont pu assister à des séances de thérapie où les femmes se reconstruisent.
Marie a été poignardée par son ex-compagnon devant ses enfants. Qui ont pu être pris en charge dans le cadre du « protocole féminicide ».
En 2017, Lynda a failli mourir sous les coups de son mari. Le « protocole tentative de féminicide » a alors été enclenché pour elle et ses enfants.
Frappée et menacée de mort par son mari, Nathalie veut porter plainte. Alors l’Usap a fait venir la police à l’hôpital. Récit.
Chaque jour, des femmes victimes de violences conjugales arrivent à l’Usap. À bout, terrorisées, elles y sont accompagnées.