
Officiellement lancée ce jeudi, la prise de contrôle bolloréenne, déjà effective à Europe 1, s’étend au « JDD » et à « Paris Match ».
Officiellement lancée ce jeudi, la prise de contrôle bolloréenne, déjà effective à Europe 1, s’étend au « JDD » et à « Paris Match ».
« Le Monde », « Quotidien », « Mediapart »… Les militants sont chauffés à blanc contre la « bien-pensance ». Heureusement, il y a CNews.
Info « Les Jours ». Deux articles ont été trappés pour ne pas déplaire au futur patron. Et dire que l’OPA sur Lagardère est à peine lancée…
Décalquée de CNews, la radio voit s’enfuir toujours plus d’auditeurs tandis qu’un habitué de la chaîne est nommé à la tête du journal.
Le décrié directeur de « Paris Match » et du « JDD » est viré. Après Europe 1 dévorée par CNews, Bolloré s’attaque à la presse Lagardère.
Info « Les Jours ». La station est en train de voir partir une centaine de salariés, virés ou démissionnés. À la rentrée, place à Bolloré !
Deux salles, deux ambiances : l’AG qui a vu l’entrée de Vivendi et la manifestation à Europe 1 contre l’« emprise » de CNews. Récit croisé.
Dans la radio aux mains de Bolloré, le mouvement s'achève, entre fierté et amertume, sur la promesse d'une « simili clause de conscience ».
Arrivée de Laurence Ferrari, antenne partagée avec CNews… Les annonces de Lagardère, télécommandées depuis Canal+, ulcèrent la rédaction.
Info « Les Jours ». La « rupture conventionnelle » est ouverte, visant 39 postes. Mais déjà plusieurs voix sont écartées de la station.
Info « Les Jours ». Face à l’équipe, la direction a souhaité « des ponts » avec CNews. Et invite ceux qui ne sont pas d’accord à partir.
Promise à Bolloré, la rédaction tente de se mobiliser, tandis qu’un plan d’économies se prépare. Sale ambiance derrière les micros.
Grandes manœuvres chez Lagardère : Bolloré attaque, le Qatar se retourne, Arnault entre au capital… Ça tire à balles réelles.
L’entourloupe de la direction, qui nomme Louis de Raguenel chef adjoint du service politique, laisse la rédaction sans voix et désespérée.
Le red chef de « Valeurs actuelles » arrive bel et bien au service politique. Lagardère en aura-t-il fini un jour de couler son empire ?